D’une enfance difficile à une vie où tout lui réussit, Adriana Karembeu a dû croire en ses rêves et ne jamais perdre espoir…
« Non seulement je viens d’un pays très pauvre qui n’existe plus, la Tchécoslovaquie, mais j’ai aussi grandi avec un père qui n’a cessé de me dire, enfant, qu’on n’allait rien faire de moi. Je cherchais tout le temps à lui plaire, sans jamais y arriver », révélait en juillet dernier à Madame Figaro, Adriana Karembeu, qui a selon le Guinness des Records de 2011 les jambes les plus longues du monde (1,26 m).
« Garder le cap pour atteindre mes objectifs et réaliser mes rêves ont toujours été mes mantras »
Et d’ajouter : « Quand j’ai été repérée en 1991 par une agence française de mannequin, je l’ai évidemment pris comme un joli coup de pouce de la vie. Depuis ce jour-là, garder le cap pour atteindre mes objectifs et réaliser mes rêves ont toujours été mes mantras ».
La médecine et les sacs, ses deux passions
Adriana déclare avoir deux passions : les sacs à main et la médecine.
Elle précise : « Avant de devenir mannequin dans les années 1990, j’ai fait trois ans de médecine à la faculté de Prague. Si je ne suis pas allée au bout de mes études, celles-ci m’ont accompagnée tout au long de ma carrière, de mon rôle d’ambassadrice de la Croix-Rouge française, depuis vingt-deux ans, à mes dix ans de coanimation avec Michel Cymes de l’émission “Les Pouvoirs extraordinaires du corps humain” sur France 2 ».
Son amour pour les sacs, Adriana le doit à sa grand-mère slovaque qui enfermait à double tour ses précieux accessoires.
Un souvenir qu’elle continue de faire exister grâce à la maison Mauboussin, dont elle est l’image de la ligne de sacs…
Demain nous parlerons du fait que : Adriana Karembeu aurait pu ne pas réussir.
Faut toujours rester motivé et penser aux objectifs d’abord
Sympa cette Adriana. Pourquoi n’a-t-elle pas repris son patronyme de Sklenaříková après son divorce ? C’eût été plus exotique et plus en rapport avec sa grande beauté slave.
Elle m’a bien amusé dans « Rendez-vous en terre inconnue », lorsqu’une dame en Ethiopie lui demandant quel était mon métier, et qu’elle a répondu « Mon métier… c’est d’être belle. » et a réalisé immédiatement l’incongruité de sa réponse ! C’était un moment fugace de rire en commun et en même temps un grand moment de vie et d’humanité partagée.
elle mérite sa place oui elle est jolie mais son coeur est encore plus beau,jeérite lui souhaite tout le bonheur et réussite,car elle le mérite
gros bisous de gilbert.c marot