Alain Delon (3/7) : A deux doigts d’être proxénète, « J’en ai la mentalité »

Delon

Alain Delon a failli sombrer dans la prostitution…

« Je suis tombé dans ce métier grâce à des femmes » a indiqué celui qui n’a rien perdu de son aura pour Le Monde. « On me présente une femme, Zizi, qui est morte depuis… Par Zizi, je rencontre Brigitte Auber… Je déménage chez Brigitte, qui me fait rencontrer Yves Allégret. L’épouse du cinéaste, Michèle Cordoue, tombe dingue de moi et dit à son mari qu’il faut me prendre pour le film qu’il prépare… », a indiqué Alain Delon au Monde en décembre dernier.

« Je pense que je vais mourir dans peu de temps, car je suis un voyou »

Et de confier : « Quand je rentre d’Indochine, en 1956, je ne sais pas quoi faire. Je pense que je vais mourir dans peu de temps, car je suis un voyou. J’en ai la mentalité. J’habite à Pigalle avec un copain, dans un hôtel qui m’a marqué. L’Hôtel Régina… Il y a un bar à côté de mon hôtel, un bar de voyous, Les Trois Canards. Au bout d’un ou deux mois, j’ai huit jeunes filles qui sont amoureuses de moi et qui veulent travailler pour moi… ».

« J’ai des femmes dans un certain quartier de Paris et je dois devenir un maquereau »

Alain Delon aurait pu devenir proxénète : « Ça vous va ? Si le cinéma n’arrivait pas là-dessus, je serais où aujourd’hui ? J’ai des femmes dans un certain quartier de Paris, et je dois devenir un maquereau. Mais, comme j’ai aussi des femmes dans un autre quartier de Paris, je deviens une star ».

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