Trois manifestants ont fait des doigts d’honneur et proféré des insultes à Emmanuel Macron à Sélestat ce 19 avril dernier.
Deux hommes et une femme, sans antécédent judiciaire, ont été accusés d’avoir fait des doigts d’honneur et insulté Emmanuel Macron à Sélestat en Alsace ce mercredi.
Le jugement des manifestants aura lieu en septembre prochain
Selon la procureure de la République de Colmar, Catherine Sorita-Minard, ce 22 avril, ils seront jugés en septembre prochain.
Et d’ajouter que les accusés comparaîtront sur « reconnaissance préalable de culpabilité pour outrage à personne dépositaire de l’autorité publique ».
Une quatrième personne a également été interpellée et placée en garde à vue, mais son dossier a fait l’objet d’un classement sans suite.
L’Etat a également porté plainte au sujet de…
Deux plaintes ont également été déposées par l’Etat et Enedis au sujet de la coupure volontaire d’électricité survenue lors de la visite du chef de l’Etat mercredi à Muttersholtz à l’entreprise Mathis, une usine spécialisée dans la construction en bois.
L’action a été revendiquée par la Confédération générale du travail et une enquête, menée par les gendarmes de Sélestat, est en cours.
En fait c’est simple, si les Français ne veulent vraiment pas de la réforme des retraites de Macron, en 2027 ou peut-être même avant si celui-ci jette l’éponge, il leur faudra choisir quelqu’un se disant prêt à retirer cette réforme. Et s’ils ne veulent pas voter pour un candidat extrême (RN ou LFI) il leur faudra se tourner vers un petit candidat et surtout pas vers les amis de Macron qui, comme Édouard Philippe, bien que critiquant légèrement la manière autoritaire employée par Macron pour faire adopter sa réforme (49.3,) ne voudront surtout pas la supprimer et seront même au contraire prêts à augmenter encore l’âge de départ. Donc en 2027 ou peut-être même avant : « un petit candidat (qui deviendra grand) ayant dans son programme la volonté de retirer la réforme des retraites. »