Emmanuel Macron dort peu et dispose d’habitudes étonnantes au quotidien. Révélations…
“On passe beaucoup de temps à travailler sur des dossiers de fond. Le week-end et le soir. Je dors peu et j’ai toujours peu dormi”, avait confié Emmanuel Macron à l’émission Focus sur RTL.
“C’est tout ce dont j’ai besoin !”
Au début de son premier quinquennat, en 2017, Emmanuel Macron indiquait ne dormir que quatre heures par nuit. “C’est tout ce dont j’ai besoin !”, livrait-il.
Selon un journaliste de Focus, “c’est un président qui s’endort tard. Vers 1h, 2h du matin, tous les soirs. On peut le vérifier avec les connexions en ligne sur les réseaux sociaux et les textos qu’il envoie à ses collaborateurs. Mais en revanche, c’est quelqu’un qui va se lever vers 7h 30/8h, parfois plus ! Parce qu’il arrive très souvent en retard lors des déplacements ».
Le journaliste indique même que parfois, lors de meetings organisés tôt le matin, le locataire de l’Élysée arrive, en retard, avec la marque de l’oreiller sur la joue.
“Macron, président de la violence et de l’hypocrisie”
Après les nombreuses manifestations partout en France, Emmanuel Macron continue de rencontrer des opposants à sa réforme des retraites, et ce même à l’étranger : aux Pays-Bas, à Amsterdam, il a dû affronter des manifestants entonnant des chants de Gilets jaunes. Un groupe d’étudiants a également interrompu son discours à La Haye, dépliant une banderole sur laquelle était inscrite “Macron, président de la violence et de l’hypocrisie”.
Il n’est pas le seul à se coucher tard, moi aussi, je me couche très tard, entre 1H30 et 2 heures du matin chaque nuit et je n’ai pas son âge, il pourrait largement être mon fils car mon aîné a deux ans de plus que lui.
Et tous les jours, tous les soirs, toutes les nuits, je réponds à des demandes d’aide de malades qui ne veulent pas terminer leur vie en France sous la loi Léonetti mais qui veulent aller mourir en Belgique ou en Suisse pour échapper à cette loi qui ne leur convient pas du tout.
Tout le monde n’a pas envie d’arriver à quelques heures ou à quelques jours de sa mort pour demander à ce qu’un médecin puisse l’aider à mourir.
Les « affaires » comme on les appelle dans les médias « Affaire Vincent Humbert » « Affaire Vincent Lambert » « Affaire Chantal Sébire » « Affaire Anne Bert » « Affaire Alain Cocq » etc… etc… n’interpellent pas nos politiques qui ne se pressent pas, c’est le moins que l’on puisse dire, pour faire évoluer la loi vers une loi copiée sur la loi belge, loi humaine et respectueuse de la volonté des malades, pas comme chez nous où, dans tous les cas, c’est toujours le médecin qui décide s’il pratique -ou pas- une sédation « terminale » et selon le médecin qui vous aura pris en charge, vous aurez une mort plus rapide -ou pas- si le médecin est contre toute aide médicale à mourir car la loi lui permet de déclarer vos volontés comme « inappropriés »… Un comble !