En 1994, les photos volées de François Mitterand avec sa fille cachée, Mazarine Pingeot, ont eu l’effet d’une bombe.
Le 3 mars dernier, le journaliste Renaud Revel publiait Les Paparazzis de la République, une immersion dans les coulisses des photos qui ont marqué l’histoire des présidents de la Ve République.
François Mitterrand aurait d’abord « laissé échapper un sourire »
Les images, prises par le photographe Sébastien Valiela en 1994 et publiées par Paris Match, dévoilaient pour la première fois François Mitterrand et sa fille.
Les Paparazzis de la République raconte que François Mitterrand aurait d’abord « laissé échapper un sourire » en découvrant les photos selon Roland Dumas, président du Conseil constitutionnel et ami du chef de l’État, présent dans la pièce à ce moment-là.
« Ce sera comme une psychanalyse »
François Mitterrand aurait ensuite déclaré : « Elle est belle, n’est-ce pas ? », avant d’ajouter en soupirant : « Ce sera comme une psychanalyse. »
Puis, il aurait finalement assuré : « Je l’aime beaucoup, elle est très gentille avec moi. Mais c’est très ennuyeux, car je ne voudrais pas que cette publication la perturbe alors qu’elle est en train de passer ses examens. »
Je ne suis pas pour le « voyeurisme », loin de là, mais en ce qui concerne Mazarine, je trouve la « révélation » justifiée (probablement pas si voyageuse que cela!); M. Mitterrand a caché sa fille, menacé des journalistes, l’a entretenue aux frais du contribuable, …la duplicité, la dissimulation, la menace « sous-entendue faite homme! Un triste personnage!