Isabelle Boulay balance sur son couple avec Dupond Moretti : « pas le plus beau jour de ma vie! »

Isabelle Boulay

Auprès du magazine canadien « La Châtelaine », la chanteuse Isabelle Boulay s’est confiée sur son couple avec l’actuel ministre de la justice Éric Dupond Moretti. Mais ce jour où son compagnon a pris en grade n’était « pas le plus beau jour de sa vie! », pour reprendre ses mots…

Loin des lumières et des tapis rouges

Isabelle Boulay est une chanteuse qui se veut rare sur la scène médiatique. Elle cultive une vie « normale » autant qu’elle le peut, loin des lumières et des tapis rouges. Depuis que son histoire d’amour avec l’actuel ministre de la justice, Éric Dupond Moretti, a été révélée par les paparazzis en 2016, c’est d’autant plus un challenge. 

Leurs quotidiens ont été quelque peu chamboulés depuis qu’il a été nommé ministre de la justice sous le gouvernement Macron, en 2020, elle explique : « Emmanuel Macron lui-même l’a appelé pour lui offrir le poste le 7 juillet 2020, jour de mon 48e anniversaire. Et ce n’était pas le plus beau jour de ma vie. » La journaliste qui l’interview décrit les précautions qu’elle prend lorsqu’elle aborde ce « sujet sensible » avec la chanteuse : « Dans le couple, la star, ce n’est pas moi, c’est lui ».

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« Je voulais que rien ne change, et rien n’a vraiment changé »

Comment garder l’équilibre au sein du couple avec l’impact que pourraient avoir ces nouvelles fonctions? « Je voulais que rien ne change, et rien n’a vraiment changé, à part les gardes du corps. Ils sont formidables et d’une discrétion absolue. Quand je fais mon épicerie, il y en a deux qui m’attendent à la sortie. J’ai l’impression que deux maris m’attendent. »

Mais avant toute chose Isabelle Boulay relativise sur cette situation qui ne lui est pas tant étrangère : « Tu sais quoi ? J’en ai un peu l’habitude. J’ai été en tournée avec Johnny Hallyday et Charles Aznavour, des environnements où ce genre de protection existait. Il y a des années, pour visiter Euro Disney avec mon neveu de six ans, j’ai eu besoin d’un garde du corps qui se faisait passer pour un photographe ».

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