Marié à Bernadette Chirac pendant plus de 60 ans, les aventures extra-conjugales de Jacques Chirac étaient connues de tous.
« En réalité, tout le monde savait », avait confié à Gala la journaliste Pauline de Saint-Rémy au sujet des conquêtes de Jacques Chirac.
« On avait l’impression qu’il faisait l’amour, c’était gênant »
Selon Une histoire érotique de l’Elysée : de la Pompadour aux paparazzi, de Jean Guarrigues, Jacques Chirac, alors Premier ministre, se rendit en Inde accompagné de Bernadette Chirac pour un déplacement officiel.
Il était « suivi bien sûr par Jacqueline (Chabridon, sa maîtresse, ndlr) parmi les journalistes accrédités ».
« La visite au Taj Mahal, temple de l’Amour, vira au vaudeville« .
Sa femme Bernadette « lambinait à l’arrière du cortège », Jacques Chirac, lui, « ouvrait la marche, sa maîtresse tout près de lui ».
« On avait l’impression qu’il faisait l’amour, c’était gênant », témoigne ainsi la journaliste Catherine Nay. Et d’ajouter : « au moment de partir, Chirac monta dans la voiture officielle oubliant même son épouse ! ».
« On ne divorce pas quand on veut atteindre les plus hautes fonctions… »
Selon la conseillère de Jacques Chirac, Marie-France Garaud : « On ne divorce pas quand on veut atteindre les plus hautes fonctions… Les giscardiens se faisaient un plaisir de distiller fuites et rumeurs auprès des journalistes ».
En 1976, le Nouvel Observateur avait eu l’intention de publier un court article intitulé « La Garçonnière du Premier ministre ».
L’équipe de Jacques Chirac avait tout fait pour interdire la sortie de l’article et avait ordonné à Jacques Chirac de mettre fin à sa liaison compromettante…
Et ce dernier avait alors expliqué à Jacqueline Chabridon : « On n’a pas le droit de divorcer ! On peut avoir des histoires, mais il faut toujours revenir à la grotte ».
Leurs « adieux minutés furent organisés dit-on, dans le propre bureau de Marie-France Garaud ».
« Charles Pasqua se chargea de faire récupérer les lettres d’amour du couple ».