Jean-Michel Maire : la police le prend en flagrant délit de consommation de drogues chez lui

Jean-Michel Maire

Suite au drame de l’accident de voiture, provoqué par Pierre Palmade sous emprise de drogues, Jean Michel Maire a partagé sa propre expérience sur le plateau de TPMP, jeudi 16 février.

« Les policiers m’avaient arrêtés chez moi, ils suivaient un dealer, je faisais une fête chez moi »

Le chroniqueur Jean-Michel Maire a partagé sa propre expérience avec les téléspectateurs de TPMP, jeudi 16 février. Celui-ci a révélé avoir été pris en flagrant délit de consommation de drogues par des policiers alors qu’il faisait une fête chez lui : « Les policiers m’avaient arrêtés chez moi, ils suivaient un dealer, je faisais une fête chez moi, le dealer sortait de chez moi, pas de bol, c’est sur moi que c’est tombé. On m’avait obligé de faire une injonction thérapeutique qui n’oblige pas du tout à faire des contrôles. Donc vous pouvez continuer à en prendre tout en remplissant le contrat que le juge vous a donné. Le problème, c’est que si on veut s’en sortir, on est obligés de changer son cercle d’amis parce qu’on s’entoure de gens qui en prennent et ils ne sont pas forcément dans la volonté de vouloir arrêter. Donc il y a de grandes chances qu’on vous en propose dans la soirée et si vous avez décidé d’arrêter, c’est très dur de refuser. Vous êtes obligés de vous mettre au vert, de ne plus sortir, de ne plus voir les anciens amis pour changer d’univers sinon vous êtes presque sûrs de replonger ».

De manière général, le journaliste ne cache pas être au contact de drogues très facilement dans les milieux qu’il fréquente : « Sur les dix dernières années, je pense qu’il n’y a pas une fête où je suis allé où il n’y a pas des gens qui consommaient de la drogue. Il y en a absolument partout et dans tous les milieux. Surtout la cocaïne, pas tellement l’herbe. Certaines personnes prennent du GHB, pas du tout pour abuser des gens mais uniquement pour avoir des effets hypnotiques. On en trouve partout et si vous n’en avez pas, on vous en propose. C’est complètement délirant. J’ai arrêté pour ça, je n’ai pas de honte à en parler. »

« J’ai changé de vie et il se trouve que l’âge m’a aidé beaucoup. »

Et de conclure : « J’ai changé de vie et il se trouve que l’âge m’a aidé beaucoup parce que je trouvais ça ridicule d’aller en boîte passés 60 ans. Mais quand on est jeune, qu’on y a goûté, qu’on aime sortir, il faut un vraie force ou être aidé par des proches pour réussir à s’en sortir. »

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