Pierre Perret : nouvelle polémique avec une chanson « Paris Saccagé »

Capture d’écran Pierre PERRET - YOU TUBE

Le chanteur de 88 ans, a mis en ligne, samedi 18 mars, une nouvelle chanson qui suscite la polémique. Pierre Perret s’en prend indirectement à Anne Hidalgo et la mairie de paris. 

« Dans Paris, Paris dégoutant seul les rats sont contents… »

Il est sur un vélo, déroulent derrière lui des images des rues de Paris en travaux ou avec des trottoirs encombrés de poubelles ou d’excréments… 

Le 14 mars dernier, il annonçait sur ses réseaux : 

« Mes loulous d’amour Je viens de tourner un affreux clip entre deux concerts dans la ville aujourd’hui championne de France de la mocheté.

Je vous en offre de bon cœur un extrait en primeur de mon nouvel album qui sortira mi-avril.

Cette chanson réaliste s’appelle PARIS SACCAGÉ.

On peut s’en amuser en sanglotant. Cadeau !

Et puis surtout un gros pacson de mercis pour les tonnes de mots d’amour reçues depuis une semaine, surtout de mes loulouttes. »

« Pauvre Paris, Paris enlaidi! » : dans les commentaires, deux camps s’affrontent 

Lundi 20 mars, la vidéo a fait quelques 550 milles vues sur You Tube, 

Selon les réseaux sociaux, Pierre Perret trouve plus ou moins du soutien. Deux camps s’affrontent dans les commentaires. Tel Christophe Grébert qui lui reproche des accointances avec l’extrême droite : « Bravo #PierrePerret, votre nom est désormais rattaché aux réseaux d’#Extremedroite qui ont inventé le hashtag saccage  #Paris », qui sont à l’origine de l’utilisation du hashtag saccage Paris sur twitter.

« Vieux con de droite qui fait des chansons pour les vieux cons de droite. Triste. Perso, je vais garder comme souvenir le live de Lili avec les Ogres de Barback et oublier l’après. » s’esclaffe une internaute. 

Quand d’autres le soutiennent : « Tellement véridique… Malheureusement… Mais cette chanson- encore une- est si bien écrite avec la langue de Molière laquelle vous savez toujours aussi bien transposer en vers. Merci pour cette jolie plume… toujours un plaisir de vous écouter, M. Perret… »

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