Une carrière de cavalier. Dans sa jeunesse, Guillaume Canet rêvait de devenir cavalier professionnel. Le destin en a décidé autrement.
Guillaume Canet a toujours rêvé enfant de devenir cavalier professionnel. Ses projets ont basculé à l’âge de 18 ans : l’acteur a été victime d’un grave accident.
Guillaume Canet est fils d’éleveurs de chevaux dans les Yvelines. Au début, il n’aimait pas monter à cheval. Celui qui a « grandi dans les écuries » s’explique à Marie-Claire : « Petit, je n’aimais pas ! Je suis mes deux grandes sœurs qui montaient, sans plus. Un jour à 12 ans, je les ai vues faire de l’obstacle. Ça, ça m’intéressait. Deux semaines plus tard, j’ai gagné le concours d’entraînement des écuries ». Voilà comment a débuté la passion pour les chevaux de celui qui rêvait de de devenir cavalier professionnel.
« J’ai eu un accident grave : à 18 ans, je me suis cassé la moitié du corps. »
Puis, le destin a orienté différemment la vie de celui qui est devenu acteur : « J’ai eu un accident grave : à 18 ans, je me suis cassé la moitié du corps ». À ce moment-là, l’acteur est tombé « dans une forme de désillusion et de remise en question totale ». « J’ai commencé à penser à autre chose qu’aux chevaux », raconte-t-il.
Pendant 20 ans, Guillaume Canet n’a pas pu remonter sur un cheval. Ce n’est que lors du tournage du film Jappeloup en 2012 qu’il a pu regoûté aux plaisirs de cavalier.
« On peut dire que le cheval m’a sorti de la came ! »
Depuis, il a repris goût à l’équitation et aux compétitions auxquelles il participe quand il est disponible. « Quand je peux, c’est-à-dire deux ou trois fois par semaine en plus des concours les week-ends. Mais depuis six mois, je ne monte pratiquement plus, sauf en concours… J’ai la chance que ça se passe bien mais comme je n’ai pas envie de me casser, il faut que je m’entraîne à nouveau. »
Ces secrets ont également caché une autre confidence : « Avant, j’étais vraiment rock n’ roll. Il m’arrivait de dormir que quatre heures par nuit. Je fumais beaucoup de pétards. Reprendre la compétition de haut niveau m’a beaucoup aidé. On peut dire que le cheval m’a sorti de la came ! », a confié l’acteur au magazine Elle.
satané bourricot, s’il avait pu le dégoûter du cinéma, il aurait fait preuve de salubrité publique et aurait eu double dose de picotin !