Stéphane Bern : endetté jusqu’au cou à hauteur de…

stephane bern / france TV

Dans un long entretien accordé à nos confrères du Parisien, Stéphane Berne s’est confié sur son patrimoine. Peu friand du luxe, il a cependant investi dans la pierre… au détriment de son équilibre financier!

« On est dans un pays catholique où l’argent, c’est mal »

Le présentateur est cash, concernant : « Ça reste un tabou en France. Aux États-Unis, si vous possédez une belle voiture, on vous complimente. En France, on vous la raye. On est dans un pays catholique où l’argent, c’est mal. Moi, Je n’ai jamais su combien mes parents gagnaient chaque mois ». 

Malgré ces affirmations, Stéphane Bern évoque l’achat collège Royal de Thiron-Gardais, classé Monument historique : « Je l’ai acheté, en très mauvais état pour le prix d’un petit appartement parisien : 300 000 euros. Au début, on me disait : Avec 150 000 ou 200 000 euros, vous pouvez le restaurer. Mais il y a eu plein de soucis, comme la mérule (un champignon qui attaque le bois), qui n’étaient pas prévus. Résultat : je me suis endetté au-delà de mes capacités : 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans. J’ai refusé toutes les aides publiques. Tout mon argent y passe, mes droits d’auteur, l’argent des émissions. Ici, c’est un peu le tonneau des Danaïdes. »

« Je me suis endetté au-delà de mes capacités : 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans. »

Cependant, il dément ce qu’il pu parfois lire dans certains titres de presse : « Je ne suis pas ruiné, comme j’ai pu le lire, et je ne tiens pas à faire pleurer dans les chaumières. Je ne suis pas dans la gêne. Mais je dois quand même faire attention. Je suis obligé de travailler, et sans doute encore longtemps, pour rembourser mes dettes. Je m’en suis mis beaucoup sur le dos. Il faut que je rationalise mon patrimoine et c’est pour cela que je vends Paros. Je n’ai pas envie de laisser de dettes après moi. »

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