Stéphane Bern s’est confié au magazine La fringale culturelle sur les coulisses du monde des médias…
« C’est drôle de voir la dichotomie entre l’image publique et ce que nous sommes », confie au magazine La fringale culturelle, Stéphane Bern, présentateur de Secrets d’Histoire, du Monument préféré des Français, de l’Eurovision, du Concert du 14-Juillet et de la Grande soirée du 31…
« Nombreux sont ceux qui ont la grosse tête »
Et d’ajouter : « J’ai toujours eu l’image du gendre idéal, conservateur, etc. ».
Avant de poursuivre : « Nombreux sont ceux qui ont la grosse tête et qui sont odieux une fois sortis des plateaux… En trente ans de carrière, j’ai pu constater que des personnes étaient adorables avec moi, mais horribles dans la vie. Moi, j’essaie d’être le même ».
« Chaque être humain mérite la même considération »
« Mon éducation stricte m’a également appris à considérer tout le monde au même niveau. Je parle à la boulangère comme si je parlais à la reine d’Angleterre, et inversement. Chaque être humain mérite la même considération », livre-t-il.
Stéphane Bern a grandi sous les piques de ses parents, qui lui ont appris une certaine humilité. « Sans cela, une forme d’égotisme insupportable se crée dans le bal des égos qu’est parfois le paysage audiovisuel français… Il faut savoir faire son travail sérieusement sans pour autant se prendre au sérieux », explique-t-il.