Jean-Jacques Goldman (6/7) : ce qu’il déteste le plus…

Jean-jacques Goldman

Devinez ce que Jean-Jacques Goldman déteste le plus…

Dans le podcast du 10 décembre 2022, Eric Jean-Jean raconte l’histoire de Jean-Jacques Goldman. Il y a 20 ans, le 10 décembre 2002, Jean-Jacques Goldman montait sur scène pour son dernier concert.

Jean-Jacques Goldman n’a pas connu le succès immédiatement. Au début de sa carrière, il joue avec les Red Mountain Gospellers, il fonde The Phalansters puis intègre le groupe de rock Taï Phong.

Ce dernier lui propose de partir en tournée après trois albums, mais Goldman préfère travailler avec son frère Robert dans le magasin Sport 2000, racheté à ses parents.

Jean-Jacques Goldman veut travailler seul et s’enferme dans sa cave tout l’été

Jean-Jacques Goldman veut travailler seul et s’enferme dans sa cave tout l’été pour composer son premier album solo, Démodé.

Après un premier grand succès grâce à son tube Sister Jane (1975), beaucoup de fans se précipitent aux portes de son magasin, dans l’espoir de pouvoir le rencontrer.

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« Dès le début, Jean-Jacques Goldman a toujours détesté la célébrité et la notoriété que ça pouvait engendrer. Quand des fans lui demandaient un autographe au magasin ‘SPORT 2000’ de ses parents, Jean-Jacques Goldman se faisait passer pour son cousin« , raconte Eric Jean-Jean.

En 1981, son premier album sort, avec les titres Il suffira d’un signe ou encore J’t’aimerai quand même.

« Il va falloir l’intervention d’une femme pour que tout bascule« , explique Eric Jean-Jean.

En 1959, Monique Le Marcis est nommée assistante du patron de RTL, Roger Kreicher.

Elle remarque la musique de Jean-Jacques Goldman et est convaincue qu’il faut le mettre en avant.

Lorsqu’elle passe directrice de la programmation musicale de RTL, elle place son titre Il suffira d’un signe à la tête du Hit-Parade d’Andre Torrent pendant six mois.

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Le public l’applaudit tellement fort que Goldman, timide et ému, n’arrive plus à chanter

En octobre 1981, elle le fait venir sur l’émission de radio de Michel Drucker. Ce dernier l’invite à son tour dans son émission culte Champs-Elysées du samedi soir, quelques mois plus tard.

Jean-Jacques Goldman fait un véritable carton. Le public l’applaudit tellement fort que Goldman, timide et ému, n’arrive plus à chanter.

Il suffira d’un signe devient alors « le succès populaire du début de l’année 82« .

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