Pierre Palmade (11/14) : suite à son accident, Muriel Robin, qui le voit comme un « assassin », « ne pourra pas lui pardonner »…

Muriel Robin, Pierre Palmade, Michèle Laroque

Depuis l’accident, Muriel Robin, « écoeurée », aurait pris, selon Paris Match, ses distances avec Pierre Palmade.

Suite à l’accident que Pierre Palmade a provoqué le 10 février dernier, Mila la jeune femme enceinte a perdu le bébé qu’elle attendait, son neveu de 6 ans est sorti du coma mais souffre de nombreuses blessures invalidantes, le père de ce dernier a, quant à lui, déjà subi six opérations et aura beaucoup de mal à remarcher…

Muriel Robin s’est immédiatement rendue à son chevet suite à l’accident

Hélène, la soeur de Pierre Palmade, a pris la parole au nom de son frère : « Il se réveille peu à peu et réalise l’horreur de ce qui s’est passé, de ce qu’il a causé. Il est catastrophé, il a honte. L’idée d’avoir détruit la vie de cette famille le dévaste. Il prie, et nous avec lui, pour que les victimes s’en sortent avec le moins de séquelles possibles. Il prie. Il prie vraiment. Il ne pense qu’à eux. Il assumera toutes les conséquences de ses actes avec la conscience terrible qu’il ne pourra jamais réparer le mal qu’il a fait. Aussi vain que cela puisse paraître, Pierre leur demande pardon du plus profond de son âme ».

Suite à l’accident, son amie de toujours, Muriel Robin s’est immédiatement rendue à son chevet à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, accompagnée de son épouse Anne Le Nen.

« Elle lui en veut terriblement d’avoir brisé la vie d’une famille »

Les résultats positifs de l’analyse toxicologique de Pierre Palmade ont désoeuvré Muriel Robin qui l’a toujours soutenu.

Selon Paris Match, Muriel Robin se dit « écoeurée, dépitée et malheureuse ». Elle le voit comme un « assassin », et « lui en veut terriblement d’avoir brisé la vie d’une famille, d’avoir pris le volant alors qu’il était sous l’emprise de drogues ». 

Toujours selon Paris Match, depuis ces révélations, Muriel Robin n’est pas retournée à l’hôpital.

7 réactions sur “Pierre Palmade (11/14) : suite à son accident, Muriel Robin, qui le voit comme un « assassin », « ne pourra pas lui pardonner »…

    1. Ah, elle est belle l’amitié!!!!
      On lâche « courageusement » ses amis dès qu’ils sont en difficultés, on ne sait jamais si leur nouveau statut venait à nous porter préjudice! n’est-ce pas Muriel Robin

      1. Ah oui, bravo les soi-disant AMIS qui n’ont pas dû manquer de se « GAVER » à ses frais et qui l’accablent
        tant aujourd’hui !!! Bien sûr qu’on prend part aux souffrances des personnes blessées mais à quoi bon
        s’acharner sur l’homme qui en est la cause ??? Qui n’a pas, un jour ou l’autre, fait des excès (quels qu’ils soient…) et a pris malgré tout la route ? « Français, tu as la mémoire courte » a dit le Mal Pétain, ce n’est
        peut-être pas le meilleur exemple vu ses antécédents, mais c’est un autre problème… Pierre Palmade
        a besoin de soins vu ses diverses addictions, ne le blâmez pas davantage, il doit déjà tant se sentir
        coupable, alors un peu de mansuétude s’il vous plait !!!

  1. Dans cette grave affaire, personne ne dit si le petit garçon était dans un siège auto ! Obligatoire jusque 10 ans !
    SI pas de siège, peut-être aurait-il été moins sérieusement blessé au visage dans un siège sécurisé! !
    Je comprend Muriel et Michelle qui renient P. P. mais est-ce bien dans ce terrible malheur qu’il a crée qu’il faut l’abandonner ?
    Elles le connaissent mieux que quiconque, elles savaient son mal-être perpétuel, est-il bien de le traiter « d’ASSASSIN »?
    Je ne cherche aucune excuse à P.P. il ne le mérite pas. mais même un chien on ne l’abandonne pas!

  2. on n acheve pas quelqu un qui est par terre déjà
    je reproche à P P tous les torts qu il a causés et dont il devra supporter les conséquences toute sa vie
    j ai apprécié que M R ne laisse pas tomber son ami; mais sous la pression et de peur d etre accusée de le défendre elle revient sur son acte genereux; les gens sont tellement injustes, bien sûr qu elle lui en veut; mais il faut le soutenir comme on soutient par la pensée et le coeur les pauvres victimes

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