En décembre 2017, Johnny Hallyday quittait ce monde et laissait derrière lui une famille recomposée mais pas franchement unie. Rapidement, l’histoire de son héritage prendra une place démentielle dans les médias, au détriment des héritiers…
Le clan Hallyday scindé en deux
Laura Smet et David Hallyday, qui n’ont pu dire au revoir à leur père sur son lit de mort, ne feront que plus ressentir une mise à l’écart lors de la séparation des biens dans l’héritage. Ce n’est qu’en 2020 qu’un accord définitif sera trouvé. Mais entre temps, la presse s’est emparée de l’affaire et aura lourdement impacté le quotidien de tous.
C’est en tout cas ce que relatait Laura Smet, dans un entretien qu’elle a accordé au journal ELLE. Pour elle, qui est actrice, les propositions ont nettement diminué depuis l’affaire médiatique de l’héritage. C’est ce qu’elle déplore le plus : « Mon métier me manque énormément » s’est-elle confiée.
Elle relativise et dit savoir qu’après avoir eu une telle presse, elle comprend qu’un réalisateur ait du mal à se projeter dans un personnage loin de son histoire.
Les conséquences professionnelles sont lourdes pour l’actrice
À son habitude, elle disait rester dans l’ombre de son père. Un ombre qui s’est effacée lorsqu’il est décédé et qui lui aura valu une surexposition dont elle se serait bien passée. Pour elle, les conséquences n’auront donc pas été seulement de l’ordre de l’émotionnel, mais aussi bel et bien professionnelles. « Quand mon père était vivant, le sujet c’était lui, pas moi !” s’est-elle invectivée.