Brigitte Bardot raconte tout sur l’homme qui a « bouleversé » son destin

Brigitte Bardot

Dans un élan de nostalgie, la légendaire Brigitte Bardot s’est confiée comme rarement sur les pages d’Ici Paris, dévoilant les contours d’une relation qui a marqué à jamais son existence et sa carrière. L’icône du cinéma français, qui a su captiver le monde entier par sa beauté et son talent, revient sur son histoire avec Roger Vadim, l’homme qui a « bousculé son destin ».

Une transformation profonde pour la future star

Rencontré à l’aube de ses 15 ans, Roger Vadim n’était pas seulement un réalisateur de renom, mais aussi l’artisan du destin de la jeune Brigitte. Malgré l’opposition paternelle, leur amour a triomphé, menant à un mariage civil le 19 décembre 1952. Cette union, loin d’être anodine, a été le catalyseur d’une transformation profonde pour la future star.

Son amour inconditionnel pour les animaux

L’entretien avec Ici Paris a également été l’occasion pour Brigitte Bardot de partager une autre facette de sa personnalité : son amour inconditionnel pour les animaux. Inspirée dès son plus jeune âge par le classique « Blanche-Neige et les Sept Nains », elle a exprimé son désir de s’entourer de la même affection animale que l’héroïne du conte. « Ce film a dû influencer profondément ma vie », confie-t-elle avec émotion.

Si la danse étoilait les rêves de la jeune Brigitte, c’est finalement le septième art qui a capturé son cœur, sous l’influence de Vadim. « C’est la rencontre avec Vadim, qui était l’assistant de Marc Allégret, un metteur en scène chevronné, qui a bousculé mon destin », admet-elle. Les « petits rôles sans intérêt » n’étaient qu’un moyen pour elle d’atteindre un objectif plus grand : une vie où la compassion pour les animaux serait centrale.

Brigitte Bardot a toujours suivi son instinct, et c’est avec cette même conviction qu’elle a décidé de mettre fin à sa carrière cinématographique. « Je préfère quitter que de me faire quitter », déclare-t-elle, affirmant son choix de se retirer au sommet de sa gloire. Pour elle, le monde du cinéma, qu’elle qualifie de « nid de vipères », n’a plus sa place dans sa vie actuelle, dédiée à la cause animale.

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