Lors de l’émission « C à vous » sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine, la pétillante animatrice, a été prise au dépourvu par une correction inattendue de la part de son invitée, Mazarine Pingeot. L’occasion pour les téléspectateurs de découvrir une facette méconnue de l’histoire familiale de l’ancien président François Mitterrand.
« Ah bon ? Sardou ? Ah ouais, je ne l’ai jamais entendu chanter Sardou à la maison »
Tout a commencé par une affirmation d’Anne-Elisabeth Lemoine, qui, en toute innocence, a évoqué la passion supposée de François Mitterrand pour le répertoire de Michel Sardou. Une information qui a visiblement surpris Mazarine Pingeot, qui n’a pas manqué de rectifier le tir : « Ah bon ? Sardou ? Ah ouais, je ne l’ai jamais entendu chanter Sardou à la maison ». Un moment de télévision aussi gênant qu’amusant, qui a vu l’animatrice se rattraper avec humour en évoquant d’autres chanteurs français.
Une « grande violence »
Au-delà de cette anecdote musicale, Mazarine Pingeot était présente sur le plateau pour parler de son dernier roman, « 11 Quai Branly », qui plonge dans ses souvenirs d’enfance au Palais de l’Alma. Un lieu chargé d’histoire et d’émotion pour celle qui a vécu cachée, avec sa mère, dans ce logement de fonction secret. Elle y évoque avec une certaine nostalgie les stratégies d’évitement qu’elle devait adopter pour ne pas être reconnue, comme « baisser la tête » ou « fermer les yeux » en passant devant la porte de l’imposant bâtiment.
L’écrivaine et philosophe a également partagé ses sentiments sur le jour où son existence a été révélée au grand public, un événement qu’elle décrit comme d’une « grande violence ». Un témoignage poignant qui vient compléter les nombreuses réflexions sur la vie privée des personnalités publiques et les conséquences de leur exposition médiatique.