Dans les couloirs feutrés de Buckingham Palace, une inquiétude grandissante se fait sentir. Le roi Charles III, figure emblématique de la monarchie britannique, est aux prises avec une maladie qui ébranle non seulement sa propre santé mais aussi l’avenir de son épouse, Camilla. Les dernières apparitions du souverain, marquées par une perte de poids notable, ont ravivé les spéculations sur les conséquences de son combat contre le cancer.
Camilla pourrait endosser le titre de « reine douairière »
La position de Camilla au sein de la famille royale est complexe et sujette à controverse. Longtemps perçue comme la « femme la plus détestée » du Royaume-Uni, elle a dû faire face à l’ombre persistante de Lady Diana, dont la popularité ne faiblit pas, même 40 ans après sa disparition tragique. Aujourd’hui, alors que Charles III lutte contre la maladie, la question de l’après se pose avec acuité.
Selon les informations rapportées par nos confrères de Gala, en cas de décès du roi, Camilla pourrait endosser le titre de « reine douairière ». Cependant, cette perspective ne garantit pas l’affection ni le soutien de la famille Windsor. Le prince William, futur monarque, et sa femme Kate Middleton, chouchoute des Britanniques, ne semblent offrir à Camilla qu’une « tolérance » polie, loin de l’adulation populaire.
Entre devoir royal et retraite forcée
L’avenir de Camilla, une fois veuve, pourrait être marqué par une solitude institutionnelle. La perte de ses patronages et titres honorifiques, ainsi que de son train de vie royal, sont des menaces bien réelles. Charles III, conscient de ces enjeux, aurait déjà pris des dispositions pour assurer un refuge à la femme de sa vie au Royal Lodge de Windsor. Cependant, cette résidence est actuellement occupée par le prince Andrew, dont la réputation controversée ne facilite pas les choses.
Dans ce contexte délicat, Camilla se retrouve à naviguer dans des eaux tumultueuses, où son avenir au sein de la monarchie britannique semble aussi incertain que la santé de son époux. Les prochains mois seront déterminants pour la reine consort, qui pourrait se retrouver à la croisée des chemins, entre devoir royal et retraite forcée.