Lors de sa récente apparition sur le plateau de « Quelle époque ! », Alexia Laroche-Joubert a dû faire face aux critiques acérées de la journaliste Laurence Haïm.
« Merci pour cette question, je vais dire quelque chose que je n’ai jamais dit »
La tension était palpable lorsque Laurence Haïm a interpellé Alexia Laroche-Joubert sur son soutien présumé insuffisant envers les reporters de guerre, y compris sa propre mère, Martine Laroche-Joubert. La productrice, loin de se laisser démonter, a répliqué avec véhémence : « Merci pour cette question, je vais dire quelque chose que je n’ai jamais dit. Pour moi, maman est un tel symbole, tellement haut, que je ne pouvais pas aller sur son terrain ». Elle a ensuite souligné la différence entre la narration de sa mère, qui « raconte une société en guerre », et la sienne, qui « raconte une société, peut-être qu’on peut considérer comme oisive ».
« Ce n’est pas qu’elle, c’est la faute des diffuseurs »
Face à l’insistance de Laurence Haïm, c’est Léa Salamé qui est venue à la rescousse d’Alexia Laroche-Joubert, rappelant que la responsabilité ne repose pas uniquement sur les épaules des producteurs, mais également sur celles des diffuseurs. « Ce n’est pas qu’elle, c’est la faute des diffuseurs », a-t-elle affirmé, mettant en lumière une problématique plus large dans l’industrie de la télévision.
Malgré les échanges tendus, Laurence Haïm n’a pas manqué d’exprimer son admiration pour Martine Laroche-Joubert, la qualifiant de « femme extraordinaire » et de « passionnaria » au « courage exceptionnel ». Un bel hommage qui rappelle que, même dans le feu de l’action, le respect et l’admiration pour les parcours professionnels des uns et des autres restent intacts.