Vincent Lagaf’, l’animateur emblématique du « Bigdil », s’apprête à faire son grand retour sur nos écrans, a récemment partagé une histoire personnelle bouleversante qui nous rappelle que la vie tient parfois à un fil. C’est une révélation inattendue qui nous plonge dans les méandres d’un passé douloureux, mais aussi dans l’acte salvateur d’un homme qui, sans le savoir, a changé le cours de l’histoire.
« À l’époque, l’avortement était totalement interdit »
Vincent Lagaf’, dans une sincérité touchante, a confié lors d’une interview avec Guillaume Pley pour le média Legend, avoir été non désiré par son père biologique. « À l’époque, l’avortement était totalement interdit. Quand ma mère biologique a été enceinte de moi, mon père biologique, ou plus exactement ce sale c*n, a dit ‘on ne peut pas le garder' », a-t-il déclaré, nous plongeant dans le contexte d’une époque révolue où les choix étaient restreints et souvent tragiques.
Le docteur de Ménibus est intervenu, soignant le futur animateur alors déclaré « en mort clinique »
Mais le destin de Vincent Lagaf’ a pris un tournant inespéré grâce à un homme, le père de Cécile de Ménibus, qui a joué un rôle crucial dans sa survie. « Fin avril, je suis à la clinique du Belvédère à Rouen, ma mère biologique a décidé de me laisser pour adoption, parce qu’elle m’a aimé, elle m’a adoré, elle a fait ce qu’elle a pu pour moi, mais elle n’avait financièrement pas les moyens pour faire les allers et retours pour revenir me voir, surtout que j’étais dans un état lamentable », a-t-il raconté. C’est alors que le docteur de Ménibus est intervenu, soignant le futur animateur alors déclaré « en mort clinique ».