Angélique Angarni-Filopon, notre Miss France 2025, a récemment vécu une expérience inconfortable lors d’une interview sur Sud Radio, où une question sur la liberté d’expression l’a laissée sans voix.
« Est-ce que vous êtes Charlie ? »
La scène se déroule dans le studio de Sud Radio, où Angélique Angarni-Filopon, fraîchement couronnée, est invitée à partager sur sa nouvelle vie de reine de beauté. Cependant, l’interview prend une tournure inattendue lorsque les journalistes abordent le sujet sensible de la liberté d’expression, en lien avec l’anniversaire de l’attentat de Charlie Hebdo. « Est-ce que vous êtes Charlie ? », une question simple mais lourde de sens, qui semble déstabiliser notre Miss. Après un moment d’hésitation, elle choisit de ne pas se prononcer, laissant un silence pesant s’installer dans la conversation.
Jusqu’où les personnalités publiques peuvent-elles, ou doivent-elles, exprimer leurs opinions sur des sujets sensibles ?
Comme une étincelle dans un baril de poudre, la réaction d’Angélique Angarni-Filopon ne tarde pas à enflammer les réseaux sociaux. Entre ceux qui crient au scandale face à ce qu’ils considèrent comme une « honte » et ceux qui défendent la Miss, arguant qu’elle a été victime d’un « guet-apens » journalistique, les opinions divergent. Mais une chose est sûre, le débat sur la liberté d’expression et le rôle des figures publiques dans la défense de nos valeurs démocratiques est plus que jamais d’actualité.
Angélique Angarni-Filopon, qui a conquis le cœur des Français lors de son élection à Poitiers, se retrouve désormais au cœur d’une controverse qui dépasse le cadre habituel des discussions sur les Miss France. Son silence, peut-être dicté par la prudence ou le désir de ne pas s’immiscer dans des débats clivants, soulève néanmoins une question essentielle : jusqu’où les personnalités publiques peuvent-elles, ou doivent-elles, exprimer leurs opinions sur des sujets sensibles ?