Quand Miss France 2025 se retrouve au cœur d’une polémique
Dans le monde pailleté des Miss, chaque parole peut se transformer en véritable bombe médiatique. C’est ce qu’a appris à ses dépens Angélique Angarni-Filopon, notre Miss France 2025, lors d’une interview qui a pris une tournure inattendue. L’affaire a pris une ampleur telle que même Delphine Wespiser, figure emblématique des reines de beauté, a dû intervenir. Mais revenons sur les faits qui ont déclenché cette tempête dans un verre d’eau.
Une question délicate, une réponse évasive
Tout a commencé lors d’une interview sur Sud Radio, où la question fatidique a été posée à notre Miss France : « Vous êtes Charlie ? ». Prise de court, Angélique Angarni-Filopon a esquivé, préférant ne pas se prononcer. Une réaction qui a suscité une vague de réactions et qui a poussé la jeune femme à clarifier sa position sur Instagram. Elle y a exprimé son désir de neutralité, tout en condamnant fermement les actes terroristes, rappelant son engagement pour les valeurs de liberté, de tolérance et de respect.
Delphine Wespiser monte au créneau
Alors que la polémique ne cessait de gonfler, Delphine Wespiser a pris la parole. Lors de son passage dans le Buzz TV du Figaro, elle a partagé son incompréhension face à la réaction de Miss France 2025, tout en rappelant la pression qui pèse sur les épaules des Miss : « On te le dit tous les matins, on te le répète. ‘Fais attention, il n’y a pas de baguette magique, surtout avec les réseaux sociaux. Fais attention, tu dois être un modèle pour tout le monde, tu dois être l’unité, tu dois être l’union. Donc, ne parle pas de sujets qui fâchent, ne te prononce pas’ ». Cependant, elle a souligné que dans ce cas précis, il n’était pas question de politique, mais de soutien aux valeurs fondamentales.
Une leçon d’apprentissage pour Angélique Angarni-Filopon
Delphine Wespiser a également rappelé que la nouvelle Miss France est encore dans les premiers mois de son règne et que l’apprentissage du statut de personnage public ne se fait pas du jour au lendemain. « Parfois, il faut se faire les dents sur certains buzz, malheureusement », a-t-elle ajouté, soulignant que l’expérience viendra avec le temps.
Cette affaire nous rappelle que derrière les sourires et les diadèmes, les Miss France sont aussi confrontées à la réalité d’un monde où chaque mot est pesé et peut être sujet à controverse. Pour Angélique Angarni-Filopon, c’est une leçon qui restera gravée dans sa mémoire, et pour nous, une occasion de réfléchir sur la liberté d’expression et les responsabilités qui incombent aux figures publiques.