C’est une histoire digne d’un scénario de film policier qui a éclaté au grand jour, impliquant un jeune homme de 19 ans et son complice mineur, tous deux récemment mis en examen pour une affaire de home-jackings particulièrement audacieux. Le détail croustillant ? Le surnom utilisé par l’un des suspects : « Patrick Bruel ». Mais loin de la scène et des projecteurs, c’est dans l’ombre des faits divers que ce nom a résonné, entraînant une série d’événements aussi inattendus que choquants.
Il a été assommé et ligoté
Le 7 janvier 2024, un appartement de Versailles a été le théâtre d’une scène digne d’un film de suspense. Trois individus ont fait irruption en brisant la vitre de la porte-fenêtre. Sous la menace d’un couteau, le propriétaire a été sommé de révéler l’emplacement de ses biens de valeur. Refusant de céder, il a été assommé et ligoté, tandis que sa compagne, dans un geste désespéré, jetait des objets de luxe par la fenêtre. Malgré cela, les malfaiteurs ont réussi à s’emparer d’un butin estimé à 40 000 euros.
Sept jeunes hommes ont été interpellés
L’enquête, menée par la brigade de répression du banditisme (BRB), a permis de remonter la piste grâce à une trace ADN laissée sur la fenêtre brisée et une empreinte digitale sur un téléphone volé. Entre novembre 2024 et janvier 2025, sept jeunes hommes ont été interpellés. Certains ont avoué, tandis que d’autres ont nié les faits. C’est finalement le 12 mars 2025 que le commanditaire présumé, surnommé « Patrick Bruel », a été identifié et arrêté, révèle Le Parisien.