Lors de son passage dans l’émission « C à Vous », Marie Drucker a brillamment rappelé l’importance de l’indépendance pour une femme, tout en partageant des fragments de son histoire personnelle.
« Une femme doit être « libre, consciente de la nécessité de ne dépendre de personne » »
Invitée sur le plateau de France 5 pour promouvoir son dernier roman « Nos cœurs déracinés », Marie Drucker n’a pas manqué de souligner l’influence déterminante de son éducation sur son parcours. Fille d’un père féministe, elle a été élevée dans l’idée qu’une femme doit être « libre, consciente de la nécessité de ne dépendre de personne : ni affectivement, ni psychologiquement, ni financièrement ». Des valeurs qui lui ont été transmises dès le plus jeune âge et qui ont façonné la femme qu’elle est aujourd’hui.
L’histoire d’amour entre Marie Drucker et Gad Elmaleh : un sujet médiatique incontournable en son temps
Au cours de l’émission, la journaliste n’a pas hésité à pointer du doigt une certaine réalité masculine, en déclarant que l’indépendance n’était « pas une évidence pour tout le monde, et notamment pour les hommes… ». Une remarque qui, sans nul doute, fait écho à son expérience personnelle et à son parcours professionnel, souvent en marge des attentes traditionnelles.
L’histoire d’amour entre Marie Drucker et Gad Elmaleh, bien que brève, a été un sujet médiatique incontournable en son temps. Cependant, c’est avec une certaine sérénité que la journaliste évoque cette période, affirmant que « le meilleur est toujours à venir » et que sa décision de mettre fin à leur relation était en accord avec son désir d’une histoire « moins belle qu’elle ne l’avait été ».
Marie Drucker se définit comme une féministe « par nature, culture, éducation ». Elle rend hommage à ses parents, qui lui ont inculqué l’importance de l’indépendance et de la liberté. Ces valeurs, elle les porte aujourd’hui avec fierté, les partageant à travers ses écrits et ses prises de parole, inspirant ainsi de nombreuses femmes à suivre son exemple.
Rien de nouveau dans ce que dit Marie Drucker. On entend ça tous les jours. Le féminisme, c’est bien quand il a des valeurs mais pas le féminisme d’aujourd’hui où des femmes sont des anti-hommes. Tous les hommes ne sont pas des salops, ça s’appelle aussi du sexisme.