Jacques Legros, figure emblématique du JT de 13 Heures sur TF1, nous plonge dans les coulisses de son entretien avec Brigitte Macron, révélant les défis et les surprises d’un moment télévisé qui a marqué les esprits.
« Madame Macron déteste l’interview télé »
Lorsque Jacques Legros s’est assis en face de Brigitte Macron pour parler des Pièces Jaunes, il savait qu’un sujet plus épineux attendait d’être abordé. « Madame Macron déteste l’interview télé. Son mari lui avait dit : ‘N’aie pas trop peur parce que ce n’est pas un roquet' », confie le journaliste, soulignant l’appréhension de la Première dame face aux caméras. Pourtant, c’est avec une détermination professionnelle que Legros a préparé le terrain, cherchant à détendre l’atmosphère avant de plonger dans les questions controversées.
« Bien évidemment c’est un mensonge »
L’interview a pris une tournure inattendue lorsque la rumeur concernant l’identité de Brigitte Macron a été mise sur la table. « Vous êtes le journaliste qui l’interroge sur la rumeur Jean-Michel Trogneux », rappelle Aurélie Casse, soulignant l’audace de Legros à aborder un sujet aussi délicat. La réponse de Brigitte Macron fut claire : « Bien évidemment c’est un mensonge ». Un moment de vérité qui a permis de mettre fin à des spéculations malveillantes, mais qui a également exposé le journaliste à des critiques acerbes de la part de certains téléspectateurs.
L’interview a eu des répercussions bien au-delà du plateau de TF1. Jacques Legros a reçu des messages d’insultes, certains allant jusqu’à jurer de ne plus jamais regarder son journal. « Je me suis fait insulter : ‘Monsieur, jamais plus je ne regarderai votre journal. Je n’imaginais pas que vous puissiez être quelqu’un d’aussi tordu.' », révèle-t-il. Cependant, le temps a joué en sa faveur, et ceux qui avaient promis de boycotter son émission sont finalement revenus.