Bernard Pivot : révélations choc sur la douleur secrète de sa fille

Bernard Pivot, figure emblématique de la culture française, nous a quittés le 6 mai 2024, laissant derrière lui un héritage de mots et de passion pour la littérature. Aujourd’hui, sa fille Cécile Pivot nous ouvre les pages intimes de sa vie avec son père, à travers des confidences touchantes qui révèlent l’homme derrière le journaliste.

« Il a eu une très belle vie »

Après la disparition de Bernard Pivot, ses filles Agnès et Cécile ont choisi de lui rendre hommage à travers un ouvrage intitulé « Le goût des autres », publié aux éditions Calmann-Lévy. Cet hommage littéraire dépeint un homme de lettres, mais aussi un père et un ami d’une grande gentillesse. « Il a eu une très belle vie », confie Cécile Pivot dans un entretien au Parisien. « Il disait toujours qu’il avait eu de la chance, mais il l’a méritée. C’était un homme d’une telle gentillesse ».

« Il a été merveilleux, ne s’est jamais plaint »

La fin de vie de Bernard Pivot n’a pas été épargnée par les épreuves, notamment une perte d’autonomie qui a marqué ses dernières années. Cependant, sa fille souligne son courage et sa gratitude : « Il a été merveilleux, ne s’est jamais plaint. Au contraire, il ne cessait de nous remercier, de dire qu’il avait de la chance d’être entouré ». Une relation forte unissait le père et ses filles, malgré une présence parfois limitée due à son travail acharné.

La rédaction du livre a été un moment chargé d’émotion pour Cécile Pivot, qui a ressenti la présence de son père à ses côtés. « J’avais l’impression qu’il était derrière mon épaule », confie-t-elle, émue. Elle a également tenu à rappeler que Bernard Pivot était « exactement le même sur un plateau de télévision qu’à table » avec ses proches, un homme simple et un bon vivant qui savourait la vie et le bon vin.

Bernard Pivot laisse derrière lui un héritage culturel indéniable, mais aussi un trésor de souvenirs familiaux. Sa fille se remémore avec tendresse les moments partagés, les cartes postales accompagnées de chèques et de mots doux pour ses filles. « Il nous écrivait un petit texte merveilleux pour Agnès autour de la musique et pour moi sur la littérature », se souvient-elle.

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