Brigitte a-t-elle vraiment giflé Emmanuel Macron au Vietnam ?

Brigitte et Emmanuel Macron

Lorsque les projecteurs du monde entier sont braqués sur vous, chaque geste, chaque regard peut être scruté, analysé et parfois mal interprété. C’est ce qui est arrivé au couple présidentiel français lors de leur récente visite au Vietnam. Une vidéo, devenue virale, montre une interaction entre Emmanuel Macron et son épouse Brigitte qui a suscité une vague de réactions sur les réseaux sociaux et contraint le président à s’exprimer sur ce qui semblait être une « chamaillerie » conjugale.

« Décompresser une ultime fois avant le début du voyage »

Tout commence avec une vidéo captée à l’arrivée du couple à Hanoï, où l’on peut voir les deux époux dans une interaction qui a été interprétée par certains comme une claque de la Première dame à son mari. Rapidement, l’Élysée a dû clarifier la situation en évoquant une simple plaisanterie entre les deux, une manière de « décompresser une ultime fois avant le début du voyage ». Un proche du couple présidentiel a commenté, « C’était un moment où le président et son épouse décompressaient une ultime fois avant le début du voyage en chahutant ».

« Cela devient une catastrophe géoplanétaire »

Face à l’ampleur prise par la vidéo, le président français a dû répondre aux questions des journalistes, qualifiant l’épisode de « catastrophe géoplanétaire » et appelant au calme. « Il y a une vidéo où nous sommes en train de nous chamailler et de plaisanter avec mon épouse, et cela devient une catastrophe géoplanétaire », a-t-il déploré, avant d’ajouter, « Il faut que tout le monde se calme ».

Au-delà de cette anecdote, le voyage du couple Macron avait des enjeux diplomatiques importants, notamment des discussions sur des sujets sensibles tels que la guerre en Ukraine ou le conflit israélo-palestinien. La visite au Mausolée de Hô Chi Minh, figure emblématique de l’indépendance vietnamienne, était un moment solennel pour le président et son épouse, qui ont ensuite poursuivi leur périple vers l’Indonésie et Singapour.

Cette « chamaillerie » rappelle que même les figures les plus publiques sont humaines et que, dans l’œil du cyclone médiatique, les moindres faits et gestes peuvent être amplifiés et interprétés de toutes parts.

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