Lundi 14 avril sur France Inter, Bertrand Chameroy a pris d’assaut le micro pour sa première chronique dans le 7/10. Avec un humour acide et une verve bien à lui, il a su secouer l’antenne et piquer là où ça fait rire… ou grincer des dents.
« Je vis depuis une semaine dans Fort Boyard à hurler ‘sors, sors’ en pensant au bébé Noël »
Attendu pour remplacer Matthieu Noël durant son congé paternité, Chameroy a dû patienter, la femme de Noël prenant son temps pour accoucher. « Je vis depuis une semaine dans Fort Boyard à hurler ‘sors, sors’ en pensant au bébé Noël », a-t-il plaisanté, faisant de cette attente un ressort comique.
« On m’avait vendu la Ligue des champions… je me retrouve en Coupe Intertoto avec l’équipe B »
Pour sa première, Bertrand Chameroy n’a pas hésité à égratigner l’ambiance de la station et ses collègues, en l’absence de la « dream team » Demorand-Salamé. « On m’avait vendu la Ligue des champions… je me retrouve en Coupe Intertoto avec l’équipe B », a-t-il lancé, marquant son territoire avec un humour qui ne demande qu’à bousculer les habitudes.
Léa Salamé, figure emblématique de France Inter, n’a pas été épargnée par les traits d’esprit de l’humoriste. « Elle subit chaque semaine 38 minutes de billets d’humour, plus les vannes de son mec », a-t-il dit, faisant allusion aux inclinations humoristiques de Raphaël Glucksmann, le compagnon de la journaliste. Une pique qui, bien que lancée en son absence, n’a pas manqué de faire réagir.
Cette première chronique de Bertrand Chameroy sur France Inter a prouvé que l’humour peut être un excellent moyen de renouveler l’air des studios. Entre autodérision et critiques cinglantes, l’humoriste a su imposer son style et promet des matinales qui ne manqueront pas de sel. Reste à voir comment ses cibles réagiront à son humour décapant, mais une chose est sûre : les auditeurs seront au rendez-vous pour la suite des événements.
Titre racoleur comme souvent. Les médias prennent les gens pour des c..s ?
bien vu