C’est une affaire de maltraitance animale qui secoue la toile et les plateaux télévisuels. Un influenceur, autrefois défenseur de sa cause sur le plateau de « Touche pas à mon poste » (TPMP), se retrouve derrière les barreaux. Un verdict qui fait écho à l’indignation populaire et qui rappelle que la notoriété ne saurait être un bouclier contre la justice.
Deux ans de prison
Le cas de Rop, cet influenceur qui avait fait les gros titres pour les mauvais traitements infligés à son chiot, a finalement trouvé son épilogue devant la justice. Accusé d’avoir infligé des sévices graves à son animal, il a été condamné à deux ans de prison, dont un avec sursis, et une mise à l’épreuve de deux ans. Le tribunal a également prononcé une interdiction définitive de détenir un animal, scellant ainsi le sort de celui qui avait tenté de se défendre en criant au complot sur le plateau de TPMP.
« Des tarés et des monstres de la pire espèce, qu’ils pourrissent en prison et en enfer ! »
L’indignation était palpable sur les réseaux sociaux lorsque Rop et sa compagne avaient tenté de se justifier à la télévision. Des explications peu convaincantes qui avaient suscité une vague de réactions outrées. « Non mais sérieusement, ce n’est pas possible d’écouter ces personnes. Ils doivent être punis. Arrêtez le baratin », s’insurgeait un internaute. « Des tarés et des monstres de la pire espèce, qu’ils pourrissent en prison et en enfer ! », renchérissait un autre. La sentence prononcée semble donc répondre à l’appel de justice de nombreux citoyens ébranlés par cette affaire.
La peine de l’influenceur devrait donc en ravir plus d’un, et rappelle que la maltraitance animale est un délit sévèrement puni par la loi, peu importe la notoriété de l’accusé. Un message fort envoyé à tous ceux qui penseraient que la célébrité offre une immunité face aux actes répréhensibles.