Dans les couloirs sacrés du Vatican, une nouvelle ère semble s’annoncer avec l’arrivée du pape Léon XIV. À peine installé sur le trône de Saint-Pierre, le souverain pontife américain marque déjà son territoire en se démarquant de son prédécesseur, le pape François. Défenseur acharné de la paix, il a surpris le monde entier en faisant une proposition inattendue à l’ancien président américain Donald Trump.
Cette initiative audacieuse a changé le statut du Saint-Siège
Le pape Léon XIV n’a pas attendu longtemps pour afficher sa volonté de jouer un rôle actif dans la résolution des conflits mondiaux. Contrairement au pape François, qui avait adopté une position plus réservée vis-à-vis de la guerre en Ukraine, Léon XIV s’est immédiatement impliqué, proposant le Vatican comme lieu de négociations pour un cessez-le-feu. Cette initiative audacieuse a non seulement changé le statut du Saint-Siège de simple observateur à celui d’acteur géopolitique, mais a également gagné l’approbation de Donald Trump, qui venait d’échouer dans ses propres tentatives de négociation à Istanbul.
Les pourparlers commenceraient « immédiatement »
Donald Trump, qui a récemment eu un appel avec Vladimir Poutine, a annoncé que les pourparlers commenceraient « immédiatement », désignant le Vatican comme lieu de rencontre probable. Cette annonce a été faite après que le pape Léon ait agi rapidement, « rencontrant les dirigeants ukrainiens, appelant à des négociations directes et plaçant l’Ukraine au centre de ses appels à la paix », comme l’a souligné TVP World. Le pape Léon semble déterminé à ne pas suivre les traces de son prédécesseur, qui avait rencontré l’ambassadeur russe avant même d’appeler Kiev lors de l’invasion russe en 2022.
Lors de sa messe inaugurale, le pape Léon XIV n’a pas caché son émotion. Alors qu’il recevait l’anneau papal du cardinal Luis Antonio Tagle, il a eu du mal à retenir ses larmes. Dans sa première homélie, il a partagé un message de paix et de bienveillance, déclarant : « À notre époque, nous voyons encore trop de discorde, trop de blessures causées par la haine, la violence, les préjugés, la peur de la différence et un paradigme économique qui exploite les ressources de la Terre et marginalise les plus pauvres », rapporté par nos confrères du Telegraph.