Faustine Bollaert, figure emblématique du PAF, a partagé une expérience personnelle qui résonne avec les préoccupations contemporaines : l’addiction aux réseaux sociaux. À l’occasion de son 46ème anniversaire, revenons sur ce témoignage qui a marqué les esprits et mis en lumière une réalité souvent tue.
« Le premier soir, j’y suis allée à 22h »
Lors d’un numéro spécial de son émission « Ça commence aujourd’hui », consacré aux dangers des réseaux sociaux, Faustine Bollaert s’est ouverte sur sa propre confrontation avec l’addiction numérique. « Le premier soir, j’y suis allée à 22h et je ne me suis absolument pas rendue compte que j’y suis restée jusqu’à 2h du matin », a-t-elle confié, soulignant l’aspect chronophage et insidieux de ces plateformes.
« J’ai supprimé l’application en me disant c’est dangereux pour ma vie réelle, en fait »
L’animatrice a rapidement pris la mesure du danger, décidant d’agir sans délai. « J’ai supprimé l’application en me disant c’est dangereux pour ma vie réelle, en fait », a-t-elle expliqué, mettant en avant la nécessité de préserver son temps et son bien-être mental face à la tentation constante de la consommation de contenu en ligne.
Le cas de Faustine Bollaert n’est pas isolé. Son histoire révèle une problématique largement partagée et souligne l’importance de la modération dans notre usage des nouvelles technologies. En partageant son expérience, l’animatrice contribue à sensibiliser le public sur les risques liés à l’usage excessif des réseaux sociaux, un sujet d’autant plus pertinent à l’ère du numérique.