C’est un François Bayrou bouleversé qui s’est exprimé, révélant une facette méconnue de sa vie privée suite aux révélations choc de sa fille. Un témoignage qui ébranle l’homme politique et interpelle l’opinion publique.
« En tant que père de famille, cela me poignarde le cœur, même si c’est une affaire très ancienne »
« En tant que père de famille, cela me poignarde le cœur, même si c’est une affaire très ancienne », a confié François Bayrou, visiblement ému, lors d’une intervention auprès de BFMTV. Ces mots font écho au courage de sa fille, Hélène Perlant, qui a brisé le silence dans un livre poignant, « Le Silence de Bétharram ». Elle y révèle avoir été victime de violences à l’âge de 14 ans, lors d’un camp d’été à Bétharram, où un abbé l’aurait violentée à plusieurs reprises.
Le Premier ministre, apprenant ces faits en même temps que le grand public, a exprimé son incompréhension et sa douleur : « Qu’on ne l’ait pas su et que des dérives de cet ordre aient eu lieu c’est presque insupportable, mais en tant que responsable public qui dépasse le père de famille c’est aux victimes que je pense ».
« Il ne sait pas que je suis victime et il ne sait pas que je vais témoigner comme victime »
Dans un entretien accordé à Paris Match, Hélène Perlant a pris la défense de son père, affirmant qu’il ignorait tout de ces violences. « Il ne sait pas que je suis victime et il ne sait pas que je vais témoigner comme victime », a-t-elle déclaré, soulignant la complexité des sentiments qui l’ont poussée à garder le silence pendant tant d’années. « Mon père, j’ai peut-être voulu le protéger, inconsciemment, je pense, des coups politiques qu’il se prenait localement », a-t-elle ajouté, mettant en lumière la difficulté de partager une telle épreuve.
L’entourage de François Bayrou, tout aussi stupéfait, a confirmé que bien qu’ils étaient au courant de la participation de Hélène au livre, ils ignoraient la nature exacte de son témoignage. « Jamais elle ne lui a dit qu’elle avait été victime de violences. Il a appris tout ça hier », ont-ils précisé.
Cette affaire, qui touche l’un des hommes les plus en vue de la scène politique française, rappelle que derrière les figures publiques se cachent des histoires personnelles parfois douloureuses. Elle soulève également des questions sur la manière dont les victimes de violences choisissent de partager leur vécu, et sur le poids du silence qui peut peser sur les familles pendant des années.
Avoir son épouse professeur, ses enfants dans et établissement et…ne s’apercevoir de rien reste cocasse. Cela fait étrangement comparer au coureur Virenque qui était dopé « à l’insu de son plein gré »…Vous voilà Monsieur Bayrenque !
Bizarre , bizarre cette déclaration et ce livre !!! ne serait ce pas un contre feu pour sauver le soldat Bayrou ?
Et ce pauvre Bayrou , pas au courant des agissements pédophiles des prêtes de l’établissement privé ?
Sa femme travaillais dans l’établissement et sa fille était scolariséé ?
Il nous prend pour des jambons le Bègue ?
Mais les français et les journalistes sont tellement crédules .
Cette déclaration tombe à pics ! Cela rentre dans la série » il faut détruire les écoles catholiques » Les écoles publiques , juives , musulmanes , turques sont blanches comme les colombes qu’on veut nous faire croire !