Dans le tourbillon incessant de la vie politique française, une figure bien connue a récemment fait parler d’elle pour ses aspirations élevées. Ségolène Royal, l’ancienne compagne de François Hollande et figure emblématique du Parti socialiste, a vu ses espoirs de devenir Premier ministre s’envoler, suite à une décision présidentielle qui a pris une autre direction.
« Elle avait commencé à y croire »
Ségolène Royal n’a jamais été du genre à dissimuler ses ambitions. Selon le magazine Challenges, elle avait même déjà envisagé la composition de son gouvernement, consulté son entourage politique et proposé des postes ministériels à des figures telles que Philippe Brun, député socialiste, et Michaël Delafosse, maire de Montpellier. « Elle avait commencé à y croire », rapporte le magazine, soulignant l’ampleur des espoirs de Royal pour le poste à Matignon.
Sur le plateau de LCI, Royal avait exprimé son désir de prendre en charge le ministère de l’Intérieur, arguant qu’il aurait été intéressant d’avoir une personnalité de gauche à ce poste ou à celui de l’Économie et des Finances. Elle avait également mis en avant sa neutralité politique, affirmant n’avoir « jamais insulté les électeurs de LFI et du RN ». Ces déclarations publiques témoignaient de sa volonté de se positionner comme une candidate sérieuse pour intégrer le gouvernement de Michel Barnier.
Le choix de Macron a été expliqué dans un communiqué de l’Élysée
Malgré les espoirs et les préparatifs de Ségolène Royal, c’est finalement Michel Barnier qui a été nommé Premier ministre par le président Emmanuel Macron. Cette décision, attendue et commentée, a mis fin aux aspirations de Royal pour le poste tant convoité. Le choix de Macron a été expliqué dans un communiqué de l’Élysée, sans pour autant apaiser les déceptions de ceux qui, comme Royal, avaient nourri l’espoir d’une issue différente.
Dans le monde impitoyable de la politique, les ambitions peuvent parfois se heurter à des murs inattendus. Pour Ségolène Royal, cette fois-ci, le chemin vers Matignon s’est avéré être une impasse. Mais dans l’arène politique, rien n’est jamais définitif, et les rebondissements sont monnaie courante. Qui sait ce que l’avenir réserve à cette femme politique chevronnée ?
Surtout pas cette pintade !!