Nathalie Marquay, couronnée Miss France en 1987, a récemment révélé avoir été la cible d’un harcèlement obstiné de la part d’un homme politique influent. Un récit troublant qui nous rappelle que derrière les paillettes, la réalité peut être bien plus sombre.
Quand le pouvoir s’invite avec insistance
La vie après l’écharpe de Miss France n’est pas un long fleuve tranquille. Nathalie Marquay, connue pour son règne en tant que Miss France, mais aussi comme épouse du regretté Jean-Pierre Pernaut, a partagé une expérience pour le moins perturbante lors de son passage sur le plateau de Sam Zirah. Elle y dévoile les avances incessantes d’un homme politique « de droite », marié et « toujours vivant », qui n’a cessé de la poursuivre de ses assiduités pendant près de six mois.
« Je ne voulais pas », confie-t-elle, évoquant les invitations au restaurant qu’elle refusait systématiquement. « Tous les endroits où je me trouvais, j’avais un bouquet de fleurs. Il m’appelait au réveil. » Une situation qui a poussé Nathalie Marquay à demander aux réceptions des hôtels de ne pas lui passer les appels de cet homme insistant.
L’ancienne Miss France décrit un homme qui, fort de sa position, pensait pouvoir « tout avoir ». Malgré ses multiples refus, l’homme en question n’a jamais cessé de tenter de la séduire, allant jusqu’à la suivre dans ses déplacements professionnels. « Il savait chaque fois les galas que je faisais avec Madame de Fontenay », se souvient-elle. Une persévérance qui frôle l’obsession et qui soulève des questions sur les limites que certains sont prêts à franchir pour obtenir ce qu’ils désirent.
Le silence, un choix délibéré
Nathalie Marquay, bien qu’ayant choisi de garder l’identité de cet homme politique secret pour protéger sa famille, brise aujourd’hui le silence sur cette période difficile. « Je ne veux pas détruire sa famille », explique-t-elle, soulignant ainsi la complexité des décisions à prendre face à de telles situations.
Son témoignage vient rappeler que le harcèlement peut toucher tout le monde, peu importe le statut ou la notoriété.
C’est bien connu un proxénète se croit toujours tout permis. Et que sont les politiques de tout bords ? Des gens décidés à se faire entretenir le plus longtemps possible pour ne pas salir leurs blanches mains, par leurs millions de gagneuses qui travaillent pour eux et leurs fonctionnaires. Des maquereaux, des dos d’azur, en définitive. Comme disait Charles Williams dans « aux urnes les ploucs » : « la politique, c’est le plus vache des métiers. Ya pas de sécurité ! Va donc savoir si on n’est pas battu aux élections ? Et quand ça arrive, on est foutu de perdre la tête et de s’mettre à travailler pour gagner sa croûte » (heureusement en France les petit copains leur retrouvent toujours une sinécure).