Dans les couloirs feutrés de l’Elysée, une scène pour le moins inattendue a capté l’attention de tous les invités lors d’une réception de haut vol. Imaginez un instant, entre les dorures et les tapisseries historiques, une figure politique bien connue qui se laisse emporter par la musique et la bonne humeur. Oui, vous avez bien lu, Rachida Dati, notre ministre de la Culture, a transformé le palais présidentiel en une piste de danse improvisée, faisant « tourner les serviettes » au rythme endiablé de Johnny Hallyday.
Dans un élan de convivialité
Le décor est planté : nous sommes au cœur d’une réception organisée en l’honneur du roi Philippe et de la reine Mathilde de Belgique, venus en France pour une visite d’État de trois jours. L’objectif ? Renforcer les liens déjà solides entre nos deux nations. Le président Emmanuel Macron, dans un élan de convivialité, a comparé cet accueil à une « réunion de famille », tandis que le roi Philippe, dans un toast chaleureux, a soulevé son verre à la santé du couple présidentiel français.
La ministre n’a pas hésité à se lever et à…
Mais revenons à notre ministre de la Culture, qui, selon les dires, a su animer la soirée avec brio. À la table « Chambord », les convives ont eu droit à un spectacle des plus réjouissants. Entre anecdotes croustillantes et éclats de rire, Rachida Dati a su captiver son auditoire. Et lorsque l’orchestre a entonné « L’Envie » de Johnny Hallyday, chanson fétiche du président, la ministre n’a pas hésité à se lever et à entraîner les autres invités dans une danse des serviettes des plus festives.
La soirée ne s’est pas limitée à la culture et à la politique. Le sport a également trouvé sa place dans les discours, avec une référence au match de football opposant la France à la Belgique. Le roi Philippe, avec une pointe d’humour, a exprimé son « espoir secret d’une victoire belge », tout en soulignant l’esprit d’amitié et de fair-play qui unit les deux pays.
Au terme de la soirée, le couple royal belge a pris congé, laissant derrière eux un souvenir impérissable d’une réception où la diplomatie s’est mêlée à la joie de vivre.
rachida etait encore bourrée en somme !