Dans le grand théâtre de la politique française, les projecteurs se braquent parfois sur des échanges cinglants entre acteurs du même bord. Récemment, c’est une expression pour le moins imagée qui a fait des vagues sur la scène médiatique : Jean-Luc Mélenchon, figure de proue de la France Insoumise, qualifié de « boulet » par son camarade de parti, François Ruffin. Un qualificatif qui a suscité l’étonnement de Gilles Bouleau lors de l’interview de Mélenchon sur TF1. Mais que s’est-il vraiment passé pour en arriver là ?
Les coulisses d’une friction politique
À l’approche du second tour des élections législatives, les tensions montent et les langues se délient. François Ruffin, connu pour son franc-parler, n’a pas mâché ses mots en évoquant la campagne difficile de son parti, pointant du doigt Jean-Luc Mélenchon comme un « obstacle au vote ». Des propos qui ont rapidement fait le tour des réseaux et des rédactions, alimentant les chroniques et les débats.
Mélenchon face aux critiques : la réponse sur TF1
Invité à s’exprimer sur le plateau du JT de TF1, Jean-Luc Mélenchon a choisi de prendre de la hauteur face à cette attaque venue de ses propres rangs. « Une élection n’est pas un moment où l’on règle des comptes politiques, » a-t-il déclaré, refusant de se laisser entraîner dans une querelle interne. Et de poursuivre, avec une pointe d’ironie à peine voilée : « Quand le vent tourne fort, il emporte aussi les girouettes. »
Un appel à l’unité et à la mobilisation
Malgré les turbulences, Mélenchon reste concentré sur l’objectif : obtenir une majorité absolue. « Nous pouvons gagner ! Nous, les insoumis, n’iront dans un gouvernement uniquement pour pouvoir appliquer le programme du Nouveau front populaire, » a-t-il affirmé, appelant à une mobilisation massive pour le second tour. Et de conclure sur une note d’espoir : « Si nous gagnons dimanche, les prix pourront être bloqués dès lundi. Ceux qui ont 62 ans partiront immédiatement à la retraite. »
Une grande déception d’entendre ces propos dans la bouche de Mr Ruffin en pleine campagne électorale ! tous ces frondeurs LFI qui tirent à boulets rouges sur Mélenchon sur les plateaux télé me donnent la nausée; les différents se traitent en interne et non devant les journalistes qui en font leurs choux gras.
Et encore Ruffin est gentil quand il parle d’un boulet , perso j’aurais dit un globe terrestre !! Quand on pense que des personnes votent pour ce débris c’est a se poser des questions ?