Dans le monde scintillant des célébrités, les étoiles ne brillent pas toujours de mille feux. Parfois, derrière les paillettes et les sourires de façade, se cachent des drames personnels et des affaires judiciaires qui viennent ternir l’image de nos personnalités préférées. Aujourd’hui, c’est un visage bien connu du petit écran qui se retrouve sous les projecteurs de la justice, et pas pour les raisons que l’on aimerait.
Son procès a été renvoyé au 9 janvier 2025
Le tribunal de Paris a été le théâtre d’un rebondissement inattendu dans l’affaire opposant Stéphane Plaza, célèbre animateur de M6, à deux de ses anciennes compagnes. Accusé de violences conjugales, l’animateur devait comparaître devant la justice, mais le procès a été renvoyé au 9 janvier 2025. Une décision qui a suscité la frustration des parties civiles, qui espéraient enfin voir l’affaire avancer.
Sa psychologue a recommandé une hospitalisation en milieu protégé
L’absence de Stéphane Plaza à son propre procès a été justifiée par ses avocats par des « fragilités psychologiques ». Une attestation de sa psychologue a été présentée, décrivant des « manifestations psychiques importantes, des angoisses massives, des idées noires et des troubles du sommeil ». Face à cette situation, la professionnelle a recommandé une hospitalisation en milieu protégé, estimant que la présence de l’animateur au procès n’était pas une option viable.
Les avocats des plaignantes n’ont pas manqué de souligner ce qu’ils considèrent comme des « méthodes dilatoires » de la part de la défense. Ils ont exprimé leur mécontentement face à des arguments jugés « fumeux » et une tentative d' »inverser les rôles » dans cette affaire de violences conjugales. Les plaignantes, quant à elles, ont été décrites comme ayant pris un grand risque en s’exposant et en déposant plainte.
Malgré les débats et les arguments des deux parties, le tribunal a finalement accordé un délai de quatre mois à Stéphane Plaza, ordonnant une nouvelle évaluation de son état psychiatrique avant le 18 décembre. Ce renvoi, qualifié de « contraint » par l’avocate des plaignantes, Me Clotilde Lepetit, laisse les victimes présumées dans l’attente d’une justice qui semble s’éloigner encore un peu plus.
C’est la grande mode de faire passer les personnes pour fragiles , fous ou dérangées !! C’est une manière pour les avocats de préparer l’après si les arguments manquent de sincérité ? Après ils sont reconnus irresponsables de leurs actes , passent par une maison spécialisée , sont libérées et recommencent en sortant !!