Sylvie Vartan, icône de la chanson française, a récemment partagé un moment d’intimité émotionnelle lors d’une interview avec Léa Salamé sur France Inter, révélant ainsi l’émotion qui la définit le plus : la mélancolie. Un trait de caractère qu’elle semble avoir transmis à son fils, David Hallyday, et pour lequel elle n’a pas hésité à présenter ses excuses, non sans une pointe d’humour.
« Je suis désolée alors… ça vient de moi »
« Je suis désolée alors… ça vient de moi », a-t-elle lancé, assumant avec légèreté et autodérision cette mélancolie qui fait partie intégrante de son être. Une révélation qui fait écho aux propres confessions de son fils, David Hallyday, qui avait auparavant exprimé ressentir cette même émotion depuis son enfance. Sylvie Vartan, tout en s’excusant, a su montrer que derrière la star se cache une femme aux multiples facettes, capable de rire et d’aimer la vie malgré une certaine propension à la mélancolie.
« J’ai des paradoxes, effectivement »
À l’aube de ses adieux au public, Sylvie Vartan se livre sans fard, acceptant ses paradoxes avec sérénité. « J’ai des paradoxes, effectivement, je passe de la mélancolie, qui fait partie de mes gènes et de ceux de mes parents aussi, et en même temps, j’aime beaucoup rigoler, j’aime la gaîté », confie-t-elle. Une dualité qui la rend d’autant plus humaine et attachante aux yeux de ses fans.
Sylvie Vartan, à travers ses mots, nous rappelle que les émotions sont un héritage parfois inconscient, mais profondément ancré dans nos vies. Et si elle s’apprête à quitter la scène, c’est avec la conscience d’avoir partagé bien plus que des chansons : un morceau de son âme, mélancolique et joyeuse à la fois.