Dans le tourbillon incessant des projecteurs, Valérie Lemercier, étoile du cinéma français, s’est récemment confiée avec une authenticité touchante sur un sujet aussi intime que la maternité. L’actrice, qui n’a jamais eu d’enfants, a ouvert son cœur lors d’une interview poignante avec Soir Mag, révélant des aspects méconnus de sa vie privée et de ses choix personnels.
« C’est un pot de colle, ça c’est clair, mais elle est aussi franchement dérangée »
À l’affiche de « Aimons-nous vivants », Valérie Lemercier incarne une femme envahissante et dérangée, un rôle qui semble avoir résonné avec certaines facettes de sa propre expérience. « C’est un pot de colle, ça c’est clair, mais elle est aussi franchement dérangée. Cette femme n’est la bienvenue nulle part, même au mariage de sa fille ! », confie-t-elle. Ces mots, lourds de sens, laissent entrevoir une réflexion profonde sur la maternité et les relations familiales.
« Je pense que ça nous a données, à mes trois sœurs et moi, de la force pour faire ce qu’on voulait »
Lemercier n’hésite pas à évoquer sa propre mère, la décrivant comme « très fantaisiste et peu rassurante ». Elle ajoute : « Je pense que ça nous a données, à mes trois sœurs et moi, de la force pour faire ce qu’on voulait ». Ces révélations offrent un aperçu de l’environnement dans lequel l’actrice a grandi, un environnement qui semble avoir forgé son indépendance et sa détermination.
L’actrice aborde ensuite le sujet délicat de la maternité, ou plutôt de son absence de maternité, avec une franchise désarmante : « Peut-être que je n’ai pas eu d’enfant parce que je craignais de ne pas être rassurante ». Ces mots, empreints d’une vulnérabilité rarement exposée, témoignent d’une réflexion personnelle sur le rôle de parent et les craintes qui peuvent y être associées.
Valérie Lemercier a déjà parlé de la maternité par le passé, exprimant des sentiments mitigés : « Je n’ai pas pu en avoir, mais ce n’est pas un drame ». Elle a également évoqué l’idée d’une fécondation in vitro, regrettant de ne pas l’avoir tentée : « Maintenant, je me dis que j’aurais dû le faire. Mais quand c’était possible, je ne l’ai pas fait, voilà ». Ces confessions révèlent un chemin de vie choisi et accepté, malgré les interrogations et les possibilités laissées derrière.