La chanteuse Lorie Pester s’est confiée dans le podcast InPower ce mardi 2 janvier sur son ablation de l’utérus…
Ce mardi 2 janvier, Lorie Pester s’est confiée dans le podcast InPower sur l’endométriose dont elle est victime depuis plusieurs années et sur les conséquences que la maladie a eu sur sa santé et sa vie.
Des douleurs revenues encore plus fortes
En effet, Lorie a eu de grandes difficultés à devenir mère même si elle y est parvenue en 2020 quand elle a donné naissance à sa fille Nina avec son compagnon, Yann Dernaucourt.
Après ses neuf mois de grossesse, ses douleurs liées à l’endométriose sont revenues encore plus fortes encore.
Lorie a alors décidé de procéder à une ablation de l’utérus, soit une hystérectomie.
« Après l’accouchement, les douleurs sont revenues, mais de plus belle et là, je ne pouvais plus, franchement ! », a-t-elle livré.
Et d’ajouter : « Mon compagnon m’a dit que ce n’était plus possible, donc on a longtemps parlé pour savoir si on voulait un autre enfant. »
« Yann avait déjà un petit garçon qui a 12 ans. Donc, à la maison, on a un garçon et une fille, c’est cool, c’est déjà bien. Et moi, je ne me voyais pas repartir avec des piqûres d’hormones, une nouvelle FIV, franchement, c’est épuisant », a-t-elle poursuivi.
Lorie et son compagnon ont alors décidé de ne pas avoir de deuxième enfant ensemble, et de l’opération de Lorie.
Lorie Pester souffrait également d’adénomyose
En plus de l’endométriose, Lorie Pester souffrait d’adénomyose, « la cousine de l’endométriose, mais dans l’utérus ».
« Le seul moyen de l’enlever, c’est d’enlever l’utérus », a témoigné la chanteuse.
Et de conclure : « Même quand on en parle avec son compagnon, qu’on est sûre de soi, sur la table d’opération, j’étais encore en train de pleurer. C’est irréversible ».
Une opération qui lui a toutefois été salutaire : Lorie n’a plus de douleur.