Auprès de nos confrères de paris Match, l’infectiologue Karine Lacombe a livré un témoignage plombant sur les comportements du médecin « star » Patrick Pelloux.
« Une main entre les cuisses, un effleurage de seins, des allusions grivoises » : le très médiatique Patrick Pelloux accusé d’agressions sexuelles par l’un de ses consoeurs
« Je ne dénonce pas une personne en particulier, je rapporte des faits qui illustrent le côté systémique du harcèlement sexuel à l’hôpital » explique Karine Lacombe, infectiologue, à nos confrères de franceinfo.
Mais auprès de Paris Match, la médecin évoque un « comportement empreint de domination sexuelle » de la part de Patrick Pelloux, qui n’a pas souhaité répondre aux sollicitations de FranceInfo, mais il dément les accusations le visent.
« Une main entre les cuisses, un effleurage de seins, des allusions grivoises » : ces gestes qui seraient qualifiés d’agressions sexuelles aujourd’hui sont rapportés par Karine Lacombe dans son témoignage. Les internes éviteraient même les gardes de nuit avec la personnalité médiatique.
« Tu fais la gueule, tu as été mal baisée hier soir ? » aurait lancé Patrick Pelloux à l’une de ses employées
« Tu fais la gueule, tu as été mal baisée hier soir ? »; « Alors, les poulettes, ça piaille pas beaucoup dans ce poulailler ! » seraient des phrases que Patrick Pelloux auraient déjà dites à certaines femmes de son équipe, selon les propos de Karine Lacombe rapportés par Paris Match.
Le deux anciennes ministres de la santé Agnès Buzin, et Roseline Bachelot, auraient déjà été alertées sur son « management harcelant et humiliant« , rapporte FranceInfo, mais de « violences sexuelles ».
« C’était pour rigoler, moi j’ai toujours été fidèle, j’ai plutôt été le mec qui a protégé les filles » se serait défendu Patrick Pelloux auprès de Karine Lacombe.
Rien d’étonnant à l’hôpital c’est monnaie courante surtout au bloc opératoire ou si tu es pas « baisable » tu gicle ! Quant à la grossièreté et la domination des médecins sur les femmes c’est banal ! C’est temps que le mégot à l’hôpital se réveille !
Enfin un me too à l’hôpital et peut être la fin de l’opération sur les propos grivois et agressions sexuelles quotidiennes ! Si t’es pas baisable au bloc tu gicles !
Quant aux remarques de certains professeurs celles ci peuvent être très violentes surtout si on touche à l’égo de ces messieurs. Pourquoi ne parle t-on pas de ces dérives à l’hôpital. La sexualité ne permet pas d’exorciser la mort c’est archaïque de nos jours.