La maison de Lionel Messi à Ibiza a été vandalisée par des militants écologistes.
La luxueuse propriété de Lionel Messi a été vandalisée et aspergée de peinture noire et rouge par des militants du collectif écologiste espagnol « Futuro Vegetal » eu niveau de la façade de la villa.
Ils ont manifesté leur mécontentement face à la « responsabilité des riches » dans la crise climatique.
L’objectif était d’attirer l’attention sur le réchauffement climatique.
La villa de Lionel Messi comprend un sauna, une salle de cinéma et un spa
Le 1ᵉʳ août 2024, nous avons atteint le « jour du dépassement écologique » des ressources naturelles.
« Futuro Vegetal » exigeait que les personnes « aident la planète », « mangent les riches » et « abolissent la police ».
La villa de Lionel Messi comprend un sauna, une salle de cinéma et un spa. Elle valait 11 millions d’euros en 2022.
La résidence n’est pas toujours habitée. Selon les médias espagnols, le footballeur n’a toujours pas pu obtenir de certificat d’habitabilité car plusieurs chambres ont été construites sur la propriété sans permis.
La villa apparaît alors « illégale » pour « Futuro Vegetal » et constitue parfaitement un exemple supplémentaire de l’abus des plus riches.
Les militants veulent un changement radical du système
Dans une vidéo rendue publique, les militants se filment en affirmant « le besoin d’un changement radical de système » et en tenant une banderole « Aidez la planète, mangez les riches, supprimez la police ».
En 2022, des militantes du même collectif s’étaient collées la main sur un tableau de Goya dans le musée du Prado, à Madrid, pour dénoncer la responsabilité des riches dans la crise climatique et l’inaction des gouvernements.
Selon le président argentin Javier Milei, les manifestants qui ont vandalisé la demeure de Lionel Messi sont des « communistes qui veulent tuer les riches et abolir la police ».
Pour lui, « le communisme est une idéologie nourrie par l’envie, la haine et le ressentiment envers ceux qui réussissent. Il n’a pas sa place dans le monde libre et civilisé ».
Milei considère cet événement comme un acte lâche, démesuré et délirant.
Il demande ainsi au gouvernement de Pedro Sánchez (président du gouvernement espagnol depuis 2018) de « garantir la sécurité des citoyens argentins vivant dans le Royaume d’Espagne. VIVE LA LIBERTÉ, MERDE ».