Dans le tourbillon incessant de l’actualité people, une affaire retient particulièrement l’attention : celle de Brigitte Macron, première dame de France, qui fait face avec détermination à des rumeurs transphobes persistantes. Après une décision de justice qui a suscité l’émoi, Brigitte Macron ne compte pas en rester là et prend les armes juridiques pour défendre son intégrité.
La cour d’appel de Paris a prononcé la relaxe de Natacha Rey et Amandine Roy
Le 10 juillet dernier, la cour d’appel de Paris a prononcé la relaxe de Natacha Rey et Amandine Roy, les deux femmes accusées d’avoir propagé des rumeurs transphobes à l’encontre de la première dame. La cour a jugé que la majorité des propos incriminés ne tombaient pas sous le coup de la diffamation. Cependant, un passage spécifique a été identifié comme diffamatoire, mais la relaxe a été accordée au bénéfice de la bonne foi.
Face à cette décision, l’avocat de Brigitte Macron, Jean Ennochi, a exprimé son désaccord et a confirmé que sa cliente se pourvoit en cassation, tout comme le parquet. Cette démarche intervient dans un contexte où les rumeurs visant l’identité de Brigitte Macron ont été amplifiées depuis 2021, notamment à travers une vidéo YouTube de plus de quatre heures où les deux femmes accusées tenaient des propos diffamatoires.
Des rumeurs malveillantes
Brigitte Macron et son frère, Jean-Michel Trogneux, ont déjà obtenu gain de cause en première instance en septembre 2024, où les deux prévenues ont été reconnues coupables de diffamation et condamnées à des amendes avec sursis, ainsi qu’à verser des dommages et intérêts. Cependant, la bataille judiciaire continue, soulignant la détermination de la première dame à lutter contre les attaques transphobes et à défendre sa réputation.
Cette affaire, qui dépasse les frontières de la vie privée pour toucher à la sphère publique, montre que même les personnalités les plus en vue ne sont pas à l’abri des rumeurs malveillantes.