Disparition de Lina : de nouvelles pistes avec la découverte de…

Lina

Lundi 20 mai, Michel Mary a fait de nouvelles révélations sur la disparition de Lina dans TPMP. Les enquêteurs ont découvert Il y a quelques mois, des munitions…

Le 23 septembre dernier, Lina avait quitté son domicile à Champenay pour aller à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, dans le Bas-Rhin.

Elle n’a jamais rejoint la gare. Depuis, aucune nouvelle d’elle.

De nouvelles pistes

Les enquêteurs ont exploré de nouvelles pistes dont une plainte déposée en mai 2022 par la jeune fille contre deux hommes de 19 et 20 ans pour « viol en réunion » quand elle avait 13 ans. La plainte avait été classée sans suite;

Lundi 20 mai, Michel Mary, ancien journaliste du Nouveau Détective, a livré dans l’émission Touche pas à mon poste à ce sujet : « En mars dernier, on a appris que les gendarmes avaient découvert des munitions dans la forêt de la plaine, qui se trouve être la forêt que Lina a traversée et c’est également là que son téléphone a cessé d’émettre ».

Avant d’ajouter : « Les enquêteurs s’intéressent à ces munitions. Il est possible qu’elles appartiennent à des chasseurs, mais il est également possible qu’il y ait un lien avec l’affaire. C’est une avancée puisqu’ils peuvent retrouver des traces d’ADN ou des empreintes digitales ». 

« Pas de suspect évident »

Les gendarmes ont il y a peu placé un jeune homme de 30 ans en garde à vue. Son véhicule et sa voiture ont été fouillés mais l’homme a été relâché.

« Les enquêteurs sont persuadés qu’il est arrivé un malheur à Lina, mais il n’y a aucune preuve et il n’y a pas de suspect évident », a-t-il poursuivi.

Dans un reportage diffusé le 12 mai dernier dans Sept à huit, Louane, la cousine de Lina a brisé le silence.

Elle l’avait vue un mois et demi avant la disparition, lors de vacances en famille, en Tunisie.

Lina aurait parlé à Louane de son viol.

« Elle m’a dit qu’on la menaçait de mort, qu’on menaçait sa famille, qu’on lui disait qu’on allait rentrer chez elle et la choper », a livré Louane. 

« Lorsqu’elle m’a parlé de ça, je lui ai demandé : pourquoi, ça t’inquiète ? Elle me disait que oui, elle avait peur qu’ils le fassent vraiment », a-t-elle ajouté.

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