Les Français ont voté ce 30 juin pour désigner leurs futurs députés. Le RN est arrivé en tête avec 33,4 % des voix, devant le NFP avec 27,98 % des voix et ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE avec 20,76 % des voix.
Le scénario d’un parti majoritaire à Matignon se dessine, sans pour autant avoir la majorité absolue. Le président de la République serait en minorité (environ 100 députés selon les projections du 2e tour).
Emmanuel Macron prend le risque d’être renversé par une motion de censure
Si le gouvernement n’emporte pas l’adhésion d’au moins 289 députés, il prend le risque d’être renversé par une motion de censure.
Emmanuel Macron va-t-il démissionner ?
Le président de la République pourrait tout à fait quitter l’Elysée avant mai 2027, date de la fin de son mandat.
Selon Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel : « pour arrêter ces difficultés graves sur le pays, je suis de ceux qui pensent que le président de la République se doit de démissionner ».
« Vous pouvez me faire confiance pour agir jusqu’en mai 2027 », a écrit Emmanuel Macron dans une lettre adressée aux Français, avant de le confirmer au Figaro : « Les institutions sont claires, la place du président, quel que soit le résultat l’est aussi ».
« Ce n’est pas le RN qui écrit la Constitution, ni l’esprit de celle-ci »
Si le RN exigeait sa démission : « Ce n’est pas le RN qui écrit la Constitution, ni l’esprit de celle-ci », y répond le Président.
Une démission présidentielle est de plus en plus estimée comme un scénario possible après les législatives si aucune force politique n’obtient de majorité franche à l’Assemblée nationale : le gouvernement pourrait être en blocage institutionnel et devenir incapable de faire passer un texte de loi.
Emmanuel Macron pourrait juger que la seule solution pour sortir de l’impasse serait de démissionner et d’organiser une nouvelle élection présidentielle.
Cependant, l’élection d’un nouveau président ne résoudrait pas le problème du blocage institutionnel dans l’hémicycle.
Pauvre cloporte, c’est lui qui a déclenché ce sénario, il reçoit se qu’il mérite, il a voulut jouer au grand, au dictateur et maintenant, il n’est plus rien. Qui sème le vent récolte la tempète. La France est au bord du gouffre, au bord du soulèvement populaire, et surtout au bord d’un retour au pays entouré de frontières contrôlées.
Tu ne serais pas dictateur toi..