Florent Pagny à Nikos Aliagas : « T’es pas dans la merde »

Florent Pagny - TF1

À l’occasion du retour de la Star Academy, Nikos Aliagas confie un souvenir avec Florent Pagny…

La Star Academy vient de faire son grand retour pour une nouvelle saison inédite avec Nikos Aliagas.

Dans média Diverto, le présentateur a confié sur l’année 2002 : « C’était difficile ! Je me souviens d’avoir eu toute la direction de TF1 dans ma loge. Les regrettés Patrick Le Lay et Étienne Mougeotte étaient là. Il y avait aussi Stéphane Courbit, fondateur de Banijay, et Arthur, qui essayait de m’aider à écrire les textes du prompteur. Tous les pontes de l’époque. Moi, j’étais journaliste, pas animateur, je n’avais pas les codes. J’étais très impressionné ».

« T’es pas dans la merde avec tous ces gens-là »

« Florent Pagny, que je ne connaissais pas, m’a alors dit : « T’es pas dans la merde avec tous ces gens-là, t’as pas la pression. » (Rires) Ce jour-là, il est devenu un ami ».

Quant aux invités qui l’ont le plus marqué, Nikos Aliagas répond : « Je pensais ce matin à Tina Turner. Elle a débarqué (en 2004, ndlr), a répété comme si elle était en direct, a tout donné. Elle était exceptionnelle. Quelle femme, quelle carrière, quelle artiste ! Et puis aussi à Lara Fabian. La revoir vingt ans après, toujours une star, toujours cette voix incroyable ».

« Je crois que, celui qui me manque le plus, c’est Johnny Hallyday. Avec Charles Aznavour, ils étaient les tauliers de mon époque, quand j’ai commencé. Je pense à des artistes qui sont passés dans l’émission et ne sont plus là, comme Grégory Lemarchal : ce que j’ai vécu avec lui, ç’a été des moments de vérité absolue, presque de transcendance. Il arrivait à toucher quelque chose de sacré, presque, tellement il était fort dans ce qu’il allait chercher, dans sa puissance », a-t-il ajouté.

« J’aime la fragilité des artistes »

Avant de poursuivre : « J’aime la fragilité des artistes. Un artiste qui donne tout sur scène est quelqu’un qui ne ressemble pas aux autres. Il n’a pas peur de se mettre à nu, mais, pour ça, il doit faire un travail sur lui-même pour se mettre sous les feux de la rampe. Je respecte les artistes, car ils sont dans un état de création et ils font du bien. Je les aime profondément ».

Et de conclure, très admiratif des élèves : « Les premiers instants sont magiques : ils sont un peu impressionnés, ils voient le plateau, les caméras… Quelques mois plus tard, ils remplissent des salles de 30 000 personnes ! ».

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