Mercredi 9 octobre 2024, dans En aparté, Thomas Dutronc a donné des nouvelles de son père, Jacques Dutronc.
Mardi 11 juin 2024, Françoise Hardy décédait d’un cancer du système lymphatique puis du pharynx.
Se dire « je t’aime »
Thomas Dutronc et sa mère avaient l’habitude de se dire « je t’aime », ce qui n’est pas le cas avec Jacques Dutronc, avec l’expression des sentiments est plus difficile.
Mercredi 9 octobre 2024, dans En aparté, sur Canal+, Thomas Dutronc a lâché : « On ne parle pas beaucoup des choses qui comptent vraiment, mais des fois, on parle par silence, par non-dit. Quand mon père buvait parfois, il se confiait grâce à l’alcool. Là, il a arrêté de boire ».
Et d’ajouter : « Mon grand-père, mon oncle étaient réputés pour ne jamais parler des choses qui tiennent à cœur ou de la vie, vraiment en profondeur. Ils ne parlaient que des faits ou de la météo. Avec mon père, on parle de plein de trucs quand même, mais oui il y a beaucoup de pudeur chez les Dutronc ».
Avant de poursuivre : « Ma mère était assez spontanée et parlait de tout assez librement avec plein de gens. Elle allait droit à des sujets importants pour elle. Moi je retiens aussi essentiellement son rire, sa joie, et sa bonne humeur qui étaient fantastiques ».
« Je pense qu’il est affecté, mais il ne le montre pas du tout »
En septembre, Thomas Dutronc s’était livré sur son père suite au décès de sa mère : « Je pense qu’il est affecté, mais il ne le montre pas du tout. Je comprends ça, je suis pareil ».
Et de préciser qu’ils évitaient de parler de « l’éléphant dans la pièce » quand ils se voyaient.
Jacques Dutronc a été présent lors des derniers instants de vie de Françoise Hardy.
Thomas Dutronc avait raconté au Parisien un échange par sms avec sa mère trois semaines avant son départ : « Un soir à Châtellerault, après un concert, elle m’a envoyé son dernier texto vers 1 heure du matin, trois semaines avant sa mort : ‘Je t’aime plus que tout’. Je lui ai répondu : ‘Moi aussi ma maman chérie’ et je lui ai envoyé des photos de moi bébé avec elle ».
« Je lui ai répété plusieurs fois qu’elle n’avait pas à s’inquiéter pour moi, que je l’aimais », a-t-il conclu.
AINSI » VA LA VIE » quand un Destin capricieux et souvent Cruel se plaît à nous voir souffrir ! Le VIE n’est qu’un JEU pour lui, mais la sienne est morose, monotone et sans couleur , et c’est pourquoi, mort de jalousie , il s’en prend à la nôtre !