Guillaume Canet a connu une enfance difficile à cause d’un trouble.
Ce dimanche 8 décembre 2024 sur le plateau de 20h30 le dimanche, Guillaume Canet a fait la promotion de son nouveau film Ad Vitam qui sortira le 10 janvier prochain sur Netflix.
Dans ce film, Guillaume Canet joue le rôle d’un ancien membre du GIGN.
« Je reste un éternel insatisfait »
« Je reste un éternel insatisfait, parce que je pense que j’aurai éternellement ce manque de confiance en moi », avait-il livré dans Sept à Huit en mars dernier.
« Ça vient aussi de lacunes à l’école, j’étais dyslexique. Il y avait cette anxiété, cette colère de ne pas être à la hauteur à l’école comme les autres. En plus, je montais beaucoup à cheval en compétition à haut niveau, donc j’arrivais à l’école, je puais le fumier… J’étais regardé d’une certaine manière. Ça forge forcément un manque de confiance« , avait-il ajouté.
La dyslexie touche « 5 à 10% de la population ».
« Elle est pinailleuse, précise sur les personnages »
Dans Libération, Guillaume Canet avait dévoilé que lire lui était difficile.
Quand il écrit ses scénarios, il les fait lire « en avant-première » par Marion Cotillard, sa compagne.
« Elle est pinailleuse, précise sur les personnages », a-t-il concédé.
« Au départ, je ne voulais pas être comédien, j’ai toujours eu envie de devenir metteur en scène. J’acceptais les rôles que l’on me proposait parce que j’avais besoin de gagner ma vie pour pouvoir, plus tard, faire mes films« , a-t-il indiqué au magazine Psychologies.
« Je ne crache pas dans la soupe : c’était aussi une période agréable. Mais c’était ‘avant’. Aujourd’hui, je veux continuer à faire l’acteur uniquement si c’est pour tenir des rôles complexes, qui me tiennent à coeur », a-il ajouté.