Julian Bugier : malaise en coulisse du JT, couac en direct

Julian Bugier a ouvert le journal de 13h sur France 2 le 3 février 2025 avec un petit bug technique, mais il a rapidement repris les rênes comme un pro, multipliant les expressions faciales en direct.

Dès le début du journal, après la pause du week-end, un léger couac a eu lieu. La régie a mal géré l’enchaînement des sujets, entraînant un silence gênant sur l’antenne. Ce moment a été remarqué par son collègue radio, Nicolas Malaboeuf, qui a pointé du doigt ce long blanc.

« Voilà, on va lancer le bon magnéto, c’est mieux pour débuter le journal ! »

Sur le plateau, Julian Bugier a immédiatement pris les choses en main. Il commence par présenter le premier sujet : « C’est toute une vallée qui est au ralenti après le gigantesque éboulement en Savoie ». Il poursuit en détaillant la situation : « Entre Albertville et Moutiers, malgré des moyens de sécurisation importants, la route ne rouvrira pas avant les vacances, alors qu’on attend 33 000 véhicules samedi. »

Lorsqu’il devait envoyer le reportage sur le terrain, c’est un autre sujet qui s’est lancé à la place. Tentant de rectifier la bourde en temps réel, l’équipe de la régie a coupé le fil et est revenue sur le présentateur. Pendant ce temps, Julian Bugier, avec un sourire, a assumé le couac avec légèreté : « Voilà, on va lancer le bon magnéto, c’est mieux pour débuter le journal ! »

Tout en attendant que la régie lance enfin le bon sujet, Bugier a fixé la caméra, soulevant les sourcils, clairement impatient. Finalement, le bon reportage est arrivé… délivrant ainsi un instant de tension parfaitement géré en direct.

« Là, dans l’oreillette, un chef d’édition vous dit quels sujets vont arriver, mais au bout de quelques minutes, je n’entends plus rien »

Julian Bugier n’en est pas à son premier couac en direct. D’abord joker du 20h en 2020, il prend officiellement les rênes du 13h en 2021, après le départ de Marie-Sophie Lacarrau pour TF1.

En novembre 2024, dans Un dimanche à la campagne, il avait raconté qu’il avait dès le début de sa carrière fait face à des imprévus majeurs. Il se souvient de son tout premier journal, en 2011, lorsqu’il remplaçait David Pujadas : « Là, dans l’oreillette, un chef d’édition vous dit quels sujets vont arriver, mais au bout de quelques minutes, je n’entends plus rien ». Il découvre alors que la personne à l’autre bout avait fait un malaise vagal. Une situation pour le moins… inattendue.

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