Dans le monde pailleté de la télévision, les frontières avec la politique peuvent parfois s’estomper. C’est ce que révèle l’histoire étonnante d’un chroniqueur bien connu des aficionados du petit écran, qui a troqué ses casquettes médiatiques pour endosser le rôle de coach auprès de proches d’une figure politique de premier plan. Plongez dans les coulisses d’un engagement inattendu qui mêle convictions personnelles et rémunérations conséquentes.
Laurent Fontaine, visage familier de la télévision française et ancien acolyte de Pascal Bataille
Laurent Fontaine, visage familier de la télévision française et ancien acolyte de Pascal Bataille, a récemment fait des confidences qui ont de quoi surprendre. Lors d’une apparition sur le plateau du Buzz TV, il a levé le voile sur son implication auprès d’En Marche, le mouvement politique d’Emmanuel Macron. « J’ai coaché les porte-paroles du président. J’ai adhéré à En Marche, je le dis de manière très honnête, Renaissance aujourd’hui. Parce que j’ai cru en Emmanuel Macron, j’ai trouvé que ce type allait apporter quelque chose de neuf et de différent », a-t-il déclaré, soulignant une démarche initialement bénévole et motivée par ses convictions.
« Non, je ne regrette pas. J’ai même revoté pour lui en 2022. J’aurais un peu de mal à dire que je regrette »
Mais c’est lors de l’émission « Tout beau tout n9uf » que les choses ont pris une tournure plus croustillante. Interrogé par Cyril Hanouna sur d’éventuels regrets, Laurent Fontaine a réaffirmé son soutien sans faille : « Non, je ne regrette pas. J’ai même revoté pour lui en 2022. J’aurais un peu de mal à dire que je regrette. » Cependant, la curiosité des chroniqueurs a été piquée au vif concernant la rémunération de ce coaching politique. Après un moment de suspense, Laurent Fontaine a révélé que, suite à la campagne, ses services étaient facturés entre 500 et 700 euros de l’heure, notamment lorsqu’il a continué à travailler avec des personnalités devenues ministres.
Cette révélation a suscité un mélange de réactions, oscillant entre admiration pour l’engagement initial et étonnement face aux montants évoqués. Il est clair que la politique, tout comme le monde de la télévision, sait reconnaître et récompenser les talents de communication. Laurent Fontaine, avec son parcours atypique, illustre parfaitement cette intersection entre deux univers où l’image et le verbe sont rois.


